La Rédaction du "Témoin" a fêté hier son collaborateur Fadel Lô affecté à la représentation diplomatique, plus précisément au consulat du Sénégal en Arabie Saoudite, à Djeddah. Un sympathique pot de famille a réuni autour du directeur de Publication, Mamadou Oumar Ndiaye, des doyens de la rédaction que sont Moussa Camara et Alassane Seck Guèye et du rédacteur en chef Abdou Karim Diarra, sans compter le grand reporter Pape Ndiaye, la rédaction, mais aussi une partie du personnel administratif.
Tour à tour, le directeur de Publication, les doyens Moussa Camara et Alassane Seck Guèye, ont magnifié l’engagement de l’homme pendant plus de 15 ans pour la rédaction du "Témoin". Fadel Lô a été un collaborateur sérieux, disponible, qui ne rechignait jamais à la tache et exécutait sans murmurer les multiples commandes de papiers culturels faites par le très rigoureux et espiègle, Alassane Seck Guèye. Le directeur de Publication a dit que si les pages culturelles du Témoin week-end étaient une réalité, c’est grâce au travail abattu par Fadel Lô, qui parvenait à dénicher toutes les grandes stars dans tous les registres de la vie culturelle du pays. Fadel a été d’un apport très précieux pour la page Culture du "Témoin", par une présence constante sur le terrain. Partout où il y avait un événement culturel, on pouvait apercevoir la silhouette de Fadel, qui était un pilier de l’Association nationale de la presse culturelle.
S’adressant à Fadel Lô, qui a écrit un livre de référence sur Thione Seck, qui était son ami et son confident, Mamadou Oumar Ndiaye lui a dit que ce n’est pas un adieu, mais juste un au revoir. « Tu vas nous manquer mais, en même temps, nous nous réjouissons de ta promotion, qui récompense ton sérieux et ton acharnement au travail. Nous te souhaitons donc toute la réussite du monde en terre saoudienne », ajoutera celui que la profession appelle familièrement MON. Quant à Alassane Seck Guèye, il a expliqué que Fadel, pour lui, ce n’était pas seulement le collaborateur, mais le frère et un ami, très serviable et très respecté dans le monde de la culture.
Très ému, Fadel Lô a dû chercher les mots pour dire tout le bien qu’il pense de la rédaction du Témoin. L’ami de feu Thione Seck a précisé que "Le Témoin", c’est sa famille. « Je ne pouvais pas quitter le Sénégal sans venir dire au revoir à la rédaction du "Témoin" », a insisté Fadel Lô, qui est avant tout, un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères, passionné de culture. Un sympathique cocktail a clôturé le pot…d’au-revoir. Bon vent Fadel et prie pour les « Kaccoor » que nous sommes à La Mecque !
Le Témoin
Tour à tour, le directeur de Publication, les doyens Moussa Camara et Alassane Seck Guèye, ont magnifié l’engagement de l’homme pendant plus de 15 ans pour la rédaction du "Témoin". Fadel Lô a été un collaborateur sérieux, disponible, qui ne rechignait jamais à la tache et exécutait sans murmurer les multiples commandes de papiers culturels faites par le très rigoureux et espiègle, Alassane Seck Guèye. Le directeur de Publication a dit que si les pages culturelles du Témoin week-end étaient une réalité, c’est grâce au travail abattu par Fadel Lô, qui parvenait à dénicher toutes les grandes stars dans tous les registres de la vie culturelle du pays. Fadel a été d’un apport très précieux pour la page Culture du "Témoin", par une présence constante sur le terrain. Partout où il y avait un événement culturel, on pouvait apercevoir la silhouette de Fadel, qui était un pilier de l’Association nationale de la presse culturelle.
S’adressant à Fadel Lô, qui a écrit un livre de référence sur Thione Seck, qui était son ami et son confident, Mamadou Oumar Ndiaye lui a dit que ce n’est pas un adieu, mais juste un au revoir. « Tu vas nous manquer mais, en même temps, nous nous réjouissons de ta promotion, qui récompense ton sérieux et ton acharnement au travail. Nous te souhaitons donc toute la réussite du monde en terre saoudienne », ajoutera celui que la profession appelle familièrement MON. Quant à Alassane Seck Guèye, il a expliqué que Fadel, pour lui, ce n’était pas seulement le collaborateur, mais le frère et un ami, très serviable et très respecté dans le monde de la culture.
Très ému, Fadel Lô a dû chercher les mots pour dire tout le bien qu’il pense de la rédaction du Témoin. L’ami de feu Thione Seck a précisé que "Le Témoin", c’est sa famille. « Je ne pouvais pas quitter le Sénégal sans venir dire au revoir à la rédaction du "Témoin" », a insisté Fadel Lô, qui est avant tout, un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères, passionné de culture. Un sympathique cocktail a clôturé le pot…d’au-revoir. Bon vent Fadel et prie pour les « Kaccoor » que nous sommes à La Mecque !
Le Témoin