Selon lui, l’expertise judiciaire ordonnée par la Cour d’appel a donné raison à l’exportateur de riz. « Les conclusions sont sans équivoque. C’est bien la Cbao qui doit une somme de 879 002 411 francs à Bocar Samba Diéye », a dit le Président de l’Acsif. Il a, à ce propos, souligné que « ce rapport qui a été homologué par la Cour d’appel, est devenu définitif entre les parties, et met fin à tout contentieux possible dans cette affaire ».
Pour rappel, dans cette affaire, la Cbao avait entrepris des actions à l’encontre de Bocar Samba Dièye, alléguant une créance découlant d’actes d’ouverture de crédit et d’un protocole d’accord obtenu de « manière frauduleuse et profitant de la situation d’un individu illettré », selon M. Cissé.
Mais suite à ces contestations, la Cour d’appel, par un arrêt non frappé de pourvoi par la Cbao, a pris la décision d’ordonner une expertise pour faire les comptes entre les parties. Une expertise qui s’est déroulée de manière contradictoire, permettant à toutes les parties, assistées de leurs conseils, de présenter leurs arguments de manière équitable.
Pour rappel, dans cette affaire, la Cbao avait entrepris des actions à l’encontre de Bocar Samba Dièye, alléguant une créance découlant d’actes d’ouverture de crédit et d’un protocole d’accord obtenu de « manière frauduleuse et profitant de la situation d’un individu illettré », selon M. Cissé.
Mais suite à ces contestations, la Cour d’appel, par un arrêt non frappé de pourvoi par la Cbao, a pris la décision d’ordonner une expertise pour faire les comptes entre les parties. Une expertise qui s’est déroulée de manière contradictoire, permettant à toutes les parties, assistées de leurs conseils, de présenter leurs arguments de manière équitable.