Par le biais d’une correspondance, trois Sénégalais qui sont licenciés par la délégation régionale du HCR ont saisi le Secrétaire général des Nations Unies, Antony Gutterres pour rentrer dans leur droit. En l’absence d’Assane Diagne, décédé, mais représenté par ses héritiers Maguette Diagne et Ismaïla Diémé qui ont porté plainte contre l’organe des Nations unies ont saisi l’instance permanente.
Dans la lettre, il est indiqué que l’indemnité de licenciement qu’il réclame est bel et bien prévue par les textes relatifs au HautCommissariat des Nations Unies pour les Réfugiés. Mais qu’à ce jour, ils n’ont reçu aucun franc en compensation de leur licenciement abusif après 20 ans de service.
Pour rappel, après plusieurs années de travail sur la base de contrats entre nos compatriotes et la délégation régionale du HCR, Maguette Diagne, Ismaïla Diène et Assane Diane ont été très surpris d’être licenciés sans motifs et sans paiement des droits attachés à cette mesure.
En effet, dans cette affaire, Maguette, Ismaïla et Assane ont reçu à leur très grande surprise- une notification de la délégation en cause, les invitant à cesser toute activité au niveau de l’institution onusienne basée à Dakar. En réaction, ils déposent des recours hiérarchiques devant les responsables de l’institution qui sont restés sans suite.
Pour toute réponse, le chef de la délégation dakaroise du HCR à l’époque, par ailleurs auteur de la mesure de licenciement décidée à leur encontre, est qu’un nouveau dispositif de sécurité pour le Sénégal a été mis au point par le Département de la Sécurité du Secrétariat général des Nations Unies à New York.
En clair, contre les Sénégalais, le nouveau dispositif en question recommande de se séparer d’eux. Ils se sont ainsi retrouvés depuis lors sans salaires. Avec plusieurs mois d’arriérés de loyer, leurs enfants sont renvoyés de leurs écoles. Pire, aucun de leurs droits ne leur ont été versés par le HCR. Maguette et Ismaïla qui sont restés depuis cette mesure sans ressources, vivent dans la misère.
Quant à Assane Diagne, il est décédé entre temps, laissant derrière lui une famille éplorée et dans le désarroi. Dans la lettre de préavis de licenciement que le patron de la délégation du HCR a fait remettre aux deux Diagne et à leur collègue d’infortune, il a aussi mentionné que c’est suite aux recommandations publiées à l’issue de la dernière réunion de l’Orb qui s’est tenue à Genève, qu’il a le regret de les informer que le HCR se trouve malheureusement dans l’impossibilité de les maintenir dans la délégation régionale de Dakar. S’ils en sont à ce stade de colère contre le HCR, c’est qu’ils sont tous détenteurs de contrats
Dans la lettre, il est indiqué que l’indemnité de licenciement qu’il réclame est bel et bien prévue par les textes relatifs au HautCommissariat des Nations Unies pour les Réfugiés. Mais qu’à ce jour, ils n’ont reçu aucun franc en compensation de leur licenciement abusif après 20 ans de service.
Pour rappel, après plusieurs années de travail sur la base de contrats entre nos compatriotes et la délégation régionale du HCR, Maguette Diagne, Ismaïla Diène et Assane Diane ont été très surpris d’être licenciés sans motifs et sans paiement des droits attachés à cette mesure.
En effet, dans cette affaire, Maguette, Ismaïla et Assane ont reçu à leur très grande surprise- une notification de la délégation en cause, les invitant à cesser toute activité au niveau de l’institution onusienne basée à Dakar. En réaction, ils déposent des recours hiérarchiques devant les responsables de l’institution qui sont restés sans suite.
Pour toute réponse, le chef de la délégation dakaroise du HCR à l’époque, par ailleurs auteur de la mesure de licenciement décidée à leur encontre, est qu’un nouveau dispositif de sécurité pour le Sénégal a été mis au point par le Département de la Sécurité du Secrétariat général des Nations Unies à New York.
En clair, contre les Sénégalais, le nouveau dispositif en question recommande de se séparer d’eux. Ils se sont ainsi retrouvés depuis lors sans salaires. Avec plusieurs mois d’arriérés de loyer, leurs enfants sont renvoyés de leurs écoles. Pire, aucun de leurs droits ne leur ont été versés par le HCR. Maguette et Ismaïla qui sont restés depuis cette mesure sans ressources, vivent dans la misère.
Quant à Assane Diagne, il est décédé entre temps, laissant derrière lui une famille éplorée et dans le désarroi. Dans la lettre de préavis de licenciement que le patron de la délégation du HCR a fait remettre aux deux Diagne et à leur collègue d’infortune, il a aussi mentionné que c’est suite aux recommandations publiées à l’issue de la dernière réunion de l’Orb qui s’est tenue à Genève, qu’il a le regret de les informer que le HCR se trouve malheureusement dans l’impossibilité de les maintenir dans la délégation régionale de Dakar. S’ils en sont à ce stade de colère contre le HCR, c’est qu’ils sont tous détenteurs de contrats