L’affaire Sonko-Adji Sarr est sur toute les lèvres, constate Rewmi. En effet Moustapha Diakhaté voudrait que ce dossier soit vidé une bonne fois pour toute. Pour le parrainage, il charge l'Etat du Sénégal. La question du parrainage reste problématique pour les acteurs politiques.
En effet, depuis que l’Etat a annoncé son maintien dans le cadre des élections législatives, desservis voix se sont élevées pour dire « non ». Moustapha Diakhaté estime à son tour que est l’état qui a tord. Les choses restent au rabais en ce qui concerne le parrainage. Depuis que l'Etat a décidé que ce filtre soit mis dans le package des élections nombreux sont ceux qui se sont rangés dans le camp du non. Des membres de la société civile n’ont pas été en reste.
L’opposition était montée au créneau pour asséner ses quatre vérités. C’est d’abord la coalition Yewwi Askan wi qui jette la proposition du parrainage aux oubliettes arguant : « C’est anti démocratique ». La grande coalition de opposition dont Wallu n'a pas digérer le parrainage. Hier c’est au tour de Moustapha Diakhaté qui déclare que : « C’est l’état qui a tord. » À l’en croire il fut partisan du parrainage depuis 2014 avec les 2700 listes pour les locales. « Il se trouve que la Cour de justice de la Cedeao a donné injonction au Sénégal de sur- seoir au parrainage. Ce sera un honneur pour le Sénégal se respecter cela. Il faut respecter le droit communautaire car ce serait une erreur de sanctionner le Mali étude dénoncer des putschs militaires et ne pas respecter la décision de la Cedeao » clame Moustapha Diakhaté ancien Président du groupe parlementaire Benno bokk yaakar.
Sur un tout autre chapitre ce dernier est revenu sur l’affaire Sonko Adji Sarr. Pour ce dernier le dossier est resté longtemps sans être jugé à cause du décès de l’ancien doyen des juges sans lui trouver un remplaçant. « Un nouveau a été installé, il faut commencer le travail que l’ancien avait commencé car cette affaire na que trop duré. La lumière doit être faite », assène-t-il. Pour Moustapha Diakhaté c’est à l’Etat de jouer sa partition et ne doit pas reculer sur des menaces.
En effet, depuis que l’Etat a annoncé son maintien dans le cadre des élections législatives, desservis voix se sont élevées pour dire « non ». Moustapha Diakhaté estime à son tour que est l’état qui a tord. Les choses restent au rabais en ce qui concerne le parrainage. Depuis que l'Etat a décidé que ce filtre soit mis dans le package des élections nombreux sont ceux qui se sont rangés dans le camp du non. Des membres de la société civile n’ont pas été en reste.
L’opposition était montée au créneau pour asséner ses quatre vérités. C’est d’abord la coalition Yewwi Askan wi qui jette la proposition du parrainage aux oubliettes arguant : « C’est anti démocratique ». La grande coalition de opposition dont Wallu n'a pas digérer le parrainage. Hier c’est au tour de Moustapha Diakhaté qui déclare que : « C’est l’état qui a tord. » À l’en croire il fut partisan du parrainage depuis 2014 avec les 2700 listes pour les locales. « Il se trouve que la Cour de justice de la Cedeao a donné injonction au Sénégal de sur- seoir au parrainage. Ce sera un honneur pour le Sénégal se respecter cela. Il faut respecter le droit communautaire car ce serait une erreur de sanctionner le Mali étude dénoncer des putschs militaires et ne pas respecter la décision de la Cedeao » clame Moustapha Diakhaté ancien Président du groupe parlementaire Benno bokk yaakar.
Sur un tout autre chapitre ce dernier est revenu sur l’affaire Sonko Adji Sarr. Pour ce dernier le dossier est resté longtemps sans être jugé à cause du décès de l’ancien doyen des juges sans lui trouver un remplaçant. « Un nouveau a été installé, il faut commencer le travail que l’ancien avait commencé car cette affaire na que trop duré. La lumière doit être faite », assène-t-il. Pour Moustapha Diakhaté c’est à l’Etat de jouer sa partition et ne doit pas reculer sur des menaces.