Le Sénégal est un pays des paradoxes. Les faits d’actualités aux allures insolites embarquent tout un peuple dans des débats infertiles sans issus. Dans certains cas, c’est de la médisance, de la calomnie et de la méchanceté fortuite qui prennent place. L’affaire de la Pouponnière « Keur Yeurmandé » de Ndella Madior Diouf mérite une attention particulière et une diligence intelligente.
Ainsi, des Sénégalais épris de justice refusent de comprendre Ndella Madior Diouf qui s’est lancée dans une entreprise humanitaire pourrait mettre autant de temps à développer sa pouponnière sans être inquiétée. Ces derniers, se demandent même, où est-ce que les services de l’Etat, devant se charger du contrôle et de la surveillance du secteur, se trouvaient. Après l’arrestation de la fille de Madior Diouf, suite à une dénonciation de « Nounous » a conduit à son placement en garde-à vue. Et pourtant, elle soutenait mordicus avoir en sa disposition tous les documents administratifs lui permettant d’exercer et d’exceller dans ce domaine.
En plus de cela, presque tout le monde avait vu la Dame aux « oeuvres humanitaires » s’afficher en permanence avec les enfants sur différentes plateformes du web et autres... S’il était dans l’illégalité, rien n’a été dit ou fait pour freiner ses ardeurs. Personne ne comprend pourquoi, les instances judiciaires ont mis autant de temps pour agir. Ne serait-ce que diligenter une enquête ou faire des missions de contrôle. Ailleurs, précisément dans d’autres structures, des contrôles, dit-on, sont effectués et l’Etat, via la justice intervient dans toutes les procédures d’adoption. A chaque fois, qu’un enfant doit être adopté, il faut impérativement, une procédure judiciaire pour valider l’opération. Les enfants dans ces structures comme l’Empire des Enfants et d’autres pouponnières, l’autorité étatique veille au grain pour les protéger.
Donc, comment Ndella Madior Diouf a pu être une exception à la règle de surveillance et de protection des enfants ? Les services de l’Etat devraient d’abord, se faire des reproches, avant d’incriminer une bonne « volonté », animée par une folle envie d’accompagner des personnes en situation d’extrêmes vulnérabilités.
En vérité, si Ndella n’avait pas été au secours de ces anges, abandonnés depuis leurs naissances qui aurait pu les sauver d’une mort certaine ? Les moins chanceux d’entre eux, seraient aujourd’hui ou depuis longtemps ensevelis ou enveloppés dans des sachets en plastiques, embarqués dans des « poubelles ». Mais, une « Mère généreuse» s’est signalée à leur porter secours. C’est vrai, elle s’est substituée à une mission étatique difficile à remplir. Malgré tout, elle a du mérite d’avoir essayé. Ne serait-ce que, l’aspect secours, Ndella Madior ne devrait nullement, être sacrifiée pour ses modestes services rendus avec le coeur à ces petits bouts de bois de Dieu, abandonnés par des géniteurs inconscients. Le reproche devrait être fait à ces derniers qui ont refusé d’assumer une responsabilité parentale.
Chaque sénégalais doit se poser la question, à savoir si Ndella n’était pas là pour ces enfants, quelle serait leur sort aujourd’hui ? Même s’il y a des imperfections dans la gestion des enfants, Ndella devrait être accompagnée, renforcée, soutenue et guidée dans l’accomplissement de cette noble mission. Ayant mis ses moyens matériels et financiers dans la gestion de ces enfants, elle a juste, essayé de tenir une activité difficile avec des êtres vulnérables.
L’Etat devrait juste recadrer et remettre à cette bonne volonté sa liberté. Ndella Madior ne mérite pas du tout être traînée dans la boue comme une criminelle, une malintentionnée qui cherche à faire des profits sur le dos de ces enfants. Loin de là , Ndella, en héroine de la bonne cause n’a pas certainement sa place dans une cellule de prison.
Ainsi, des Sénégalais épris de justice refusent de comprendre Ndella Madior Diouf qui s’est lancée dans une entreprise humanitaire pourrait mettre autant de temps à développer sa pouponnière sans être inquiétée. Ces derniers, se demandent même, où est-ce que les services de l’Etat, devant se charger du contrôle et de la surveillance du secteur, se trouvaient. Après l’arrestation de la fille de Madior Diouf, suite à une dénonciation de « Nounous » a conduit à son placement en garde-à vue. Et pourtant, elle soutenait mordicus avoir en sa disposition tous les documents administratifs lui permettant d’exercer et d’exceller dans ce domaine.
En plus de cela, presque tout le monde avait vu la Dame aux « oeuvres humanitaires » s’afficher en permanence avec les enfants sur différentes plateformes du web et autres... S’il était dans l’illégalité, rien n’a été dit ou fait pour freiner ses ardeurs. Personne ne comprend pourquoi, les instances judiciaires ont mis autant de temps pour agir. Ne serait-ce que diligenter une enquête ou faire des missions de contrôle. Ailleurs, précisément dans d’autres structures, des contrôles, dit-on, sont effectués et l’Etat, via la justice intervient dans toutes les procédures d’adoption. A chaque fois, qu’un enfant doit être adopté, il faut impérativement, une procédure judiciaire pour valider l’opération. Les enfants dans ces structures comme l’Empire des Enfants et d’autres pouponnières, l’autorité étatique veille au grain pour les protéger.
Donc, comment Ndella Madior Diouf a pu être une exception à la règle de surveillance et de protection des enfants ? Les services de l’Etat devraient d’abord, se faire des reproches, avant d’incriminer une bonne « volonté », animée par une folle envie d’accompagner des personnes en situation d’extrêmes vulnérabilités.
En vérité, si Ndella n’avait pas été au secours de ces anges, abandonnés depuis leurs naissances qui aurait pu les sauver d’une mort certaine ? Les moins chanceux d’entre eux, seraient aujourd’hui ou depuis longtemps ensevelis ou enveloppés dans des sachets en plastiques, embarqués dans des « poubelles ». Mais, une « Mère généreuse» s’est signalée à leur porter secours. C’est vrai, elle s’est substituée à une mission étatique difficile à remplir. Malgré tout, elle a du mérite d’avoir essayé. Ne serait-ce que, l’aspect secours, Ndella Madior ne devrait nullement, être sacrifiée pour ses modestes services rendus avec le coeur à ces petits bouts de bois de Dieu, abandonnés par des géniteurs inconscients. Le reproche devrait être fait à ces derniers qui ont refusé d’assumer une responsabilité parentale.
Chaque sénégalais doit se poser la question, à savoir si Ndella n’était pas là pour ces enfants, quelle serait leur sort aujourd’hui ? Même s’il y a des imperfections dans la gestion des enfants, Ndella devrait être accompagnée, renforcée, soutenue et guidée dans l’accomplissement de cette noble mission. Ayant mis ses moyens matériels et financiers dans la gestion de ces enfants, elle a juste, essayé de tenir une activité difficile avec des êtres vulnérables.
L’Etat devrait juste recadrer et remettre à cette bonne volonté sa liberté. Ndella Madior ne mérite pas du tout être traînée dans la boue comme une criminelle, une malintentionnée qui cherche à faire des profits sur le dos de ces enfants. Loin de là , Ndella, en héroine de la bonne cause n’a pas certainement sa place dans une cellule de prison.