Du fond de sa cellule à Reubeuss, Samba Sow accuse sa propre famille et des députés d'être derrière le complot politique dont il se dit victime. Trois mois auront suffi à Samba Sow pour qu'il fasse des révélations sur l'assassinat de sa défunte patronne.
Le présumé meurtrier de l'ex-vice-présidente du CESE (Conseil économique social et environnemental) balaie d'un revers de la main les accusations portées contre lui. De même que les aveux consignés dans le procès-verbal d'enquête préliminaire fait par le commissariat de Pikine.
Le pensionnaire de la chambre 14 de Reubeuss commence d'abord par démentir le Procureur de la République qui, au cours de sa conférence de presse au lendemain des faits, avait estimé que le mobile du crime était financier. "On a dit que j'ai pénétré dans l chambre de la dame pour voler de l'argent. On a dit aussi que je visais l'argent du GIE mais je dis que c'est faux. L'argent du GIE a été versé aux banques bien avant l'incident et c'était un mercredi. Si je voulais de l'argent, je savais où le trouver. J'étais le bras droit de la femme et souvent, elle m'envoyer récupérer de grosses sommes d'argent, des millions sans que j'en touche un seul centime", écrit Samba Sow dans une correspondance exclusive adressée à Walf quotidien.
Au sujet des auteurs de l'assassinat de sa défunte patronne, l'inculpé met à l'index de hauts responsables politiques de l'APR comme étant derrière ce crime. " Je les connais bien et je vis les citer bientôt. Ce sont deux femmes responsables de l'APR car depuis 2015, elles avaient tenté le coup, mais par manque de possibilités, elles ont laissé tomber", menace-t-il en faisant allusion aux auteurs et commanditaires du crime de sang.
Agé de 31 ans, Samba Sow a été inculpé puis placé sous mandat de dépôt le 25 novembre dernier pour assassinat, tentative de vol avec effraction et usage d'arme et tentative d'assassinat en rapport avec les blessures qu'il aurait occasionnées sur le fils de sa victime présumée.
source: walfquotidien
Le présumé meurtrier de l'ex-vice-présidente du CESE (Conseil économique social et environnemental) balaie d'un revers de la main les accusations portées contre lui. De même que les aveux consignés dans le procès-verbal d'enquête préliminaire fait par le commissariat de Pikine.
Le pensionnaire de la chambre 14 de Reubeuss commence d'abord par démentir le Procureur de la République qui, au cours de sa conférence de presse au lendemain des faits, avait estimé que le mobile du crime était financier. "On a dit que j'ai pénétré dans l chambre de la dame pour voler de l'argent. On a dit aussi que je visais l'argent du GIE mais je dis que c'est faux. L'argent du GIE a été versé aux banques bien avant l'incident et c'était un mercredi. Si je voulais de l'argent, je savais où le trouver. J'étais le bras droit de la femme et souvent, elle m'envoyer récupérer de grosses sommes d'argent, des millions sans que j'en touche un seul centime", écrit Samba Sow dans une correspondance exclusive adressée à Walf quotidien.
Au sujet des auteurs de l'assassinat de sa défunte patronne, l'inculpé met à l'index de hauts responsables politiques de l'APR comme étant derrière ce crime. " Je les connais bien et je vis les citer bientôt. Ce sont deux femmes responsables de l'APR car depuis 2015, elles avaient tenté le coup, mais par manque de possibilités, elles ont laissé tomber", menace-t-il en faisant allusion aux auteurs et commanditaires du crime de sang.
Agé de 31 ans, Samba Sow a été inculpé puis placé sous mandat de dépôt le 25 novembre dernier pour assassinat, tentative de vol avec effraction et usage d'arme et tentative d'assassinat en rapport avec les blessures qu'il aurait occasionnées sur le fils de sa victime présumée.
source: walfquotidien