Depuis l'éclatement de l'affaire Sweet Beauté, le Sénégal a complètement perdu sa stabilité sociale. En mars 2021, des affrontements occasionnés par cette affaire avaient coûté la vie à plus d'une dizaine de jeunes Sénégalais. Après le verdict de l'affaire opposant Ousmane Sonko à Adji Sarr, le 1er juin dernier, le pays a enregistré de sanglantes manifestations ayant entraîné la mort de 16 citoyens officiellement, des centaines de blessés et de nombreuses arrestations. En somme, le sang a trop coulé au “pays de la Teranga”, ces deux dernières années.
C'est dans ce sens que le candidat déclaré à la Présidentielle de 2024, Abdoulaye Tine, très préoccupé de la situation actuelle au Sénégal, demande solennellement au chef de l'Etat Macky Sall de faire preuve de responsabilité et de démissionner de sa charge de président de la République. En effet, dit-il, il est temps pour lui de respecter les lois de notre pays, de prendre conscience des souffrances infligées à notre nation et d'entendre les voix du peuple.
“Le moment est venu de changer l'histoire de notre nation. Le moment est venu de tourner la page sur ces années sombres et de bâtir un avenir meilleur. J’appelle donc Macky Sall à quitter le pouvoir dans les meilleurs délais, pour la sauvegarde de la paix et de la stabilité du pays”, déclare M. Tine.
Ce dernier adresse aussi ses prières aux morts, à leurs familles ainsi qu’à toutes les victimes de ces derniers affrontements. “Je pense aux blessés, aux personnes emprisonnées, aux victimes des violences, aux Sénégalais empêchés de travailler, d’accéder aux soins, à toute cette jeunesse brutalisée”, souligne-t-il dans une note parvenue à “EnQuête”.
Toutes ces tragédies, poursuit-il, sont insupportables et ne peuvent être ignorées.
“Les récentes manifestations ont mis en évidence la colère, le ras-le-bol généralisé de nos concitoyens face aux abus de pouvoir, aux arrestations arbitraires et aux violations flagrantes du droit. Je comprends et je partage cette colère légitime. Les Sénégalais se sont levés, avec courage et détermination, pour défendre leurs droits fondamentaux, leur dignité et leur avenir. Nous sommes tous témoins de l'expression du désespoir d'une nation et d’une jeunesse qui aspire à la justice, à la transparence et à une gouvernance responsable”. “Rongoñu Baadoolo moy siim cere buur !'”, assène Abdoulaye Tine, qui est d’avis qu'il s’agit ici d’une véritable crise politique qui couve depuis trop longtemps.
Son expression dans la rue aujourd’hui, dit-il, n’est autre que le résultat d’une accumulation de frustrations et d'années de mépris à l'égard du peuple sénégalais. “Et tout cela renforcé par les deux derniers mandats et sa suite de décisions politiques injustes et indignes de notre grande nation”, assène-t-il.
Dans la même veine, le candidat déplore l'utilisation démesurée de la force contre la jeunesse de notre pays, les tirs à balles réelles ayant occasionné 16 morts, plus de 357 blessés, ainsi que la répression violente sans aucune mesure contre les manifestants. Il dénonce aussi les arrestations arbitraires et l’emprisonnement sans fondement légal de personnes innocentes pour des motifs fallacieux.
Ainsi, M. Tine fustige la déstabilisation et la mise en danger répétée de notre démocratie par le maintien volontaire d’un doute quant à une candidature à un troisième mandat “anticonstitutionnel et immoral”.
EnQuete
C'est dans ce sens que le candidat déclaré à la Présidentielle de 2024, Abdoulaye Tine, très préoccupé de la situation actuelle au Sénégal, demande solennellement au chef de l'Etat Macky Sall de faire preuve de responsabilité et de démissionner de sa charge de président de la République. En effet, dit-il, il est temps pour lui de respecter les lois de notre pays, de prendre conscience des souffrances infligées à notre nation et d'entendre les voix du peuple.
“Le moment est venu de changer l'histoire de notre nation. Le moment est venu de tourner la page sur ces années sombres et de bâtir un avenir meilleur. J’appelle donc Macky Sall à quitter le pouvoir dans les meilleurs délais, pour la sauvegarde de la paix et de la stabilité du pays”, déclare M. Tine.
Ce dernier adresse aussi ses prières aux morts, à leurs familles ainsi qu’à toutes les victimes de ces derniers affrontements. “Je pense aux blessés, aux personnes emprisonnées, aux victimes des violences, aux Sénégalais empêchés de travailler, d’accéder aux soins, à toute cette jeunesse brutalisée”, souligne-t-il dans une note parvenue à “EnQuête”.
Toutes ces tragédies, poursuit-il, sont insupportables et ne peuvent être ignorées.
“Les récentes manifestations ont mis en évidence la colère, le ras-le-bol généralisé de nos concitoyens face aux abus de pouvoir, aux arrestations arbitraires et aux violations flagrantes du droit. Je comprends et je partage cette colère légitime. Les Sénégalais se sont levés, avec courage et détermination, pour défendre leurs droits fondamentaux, leur dignité et leur avenir. Nous sommes tous témoins de l'expression du désespoir d'une nation et d’une jeunesse qui aspire à la justice, à la transparence et à une gouvernance responsable”. “Rongoñu Baadoolo moy siim cere buur !'”, assène Abdoulaye Tine, qui est d’avis qu'il s’agit ici d’une véritable crise politique qui couve depuis trop longtemps.
Son expression dans la rue aujourd’hui, dit-il, n’est autre que le résultat d’une accumulation de frustrations et d'années de mépris à l'égard du peuple sénégalais. “Et tout cela renforcé par les deux derniers mandats et sa suite de décisions politiques injustes et indignes de notre grande nation”, assène-t-il.
Dans la même veine, le candidat déplore l'utilisation démesurée de la force contre la jeunesse de notre pays, les tirs à balles réelles ayant occasionné 16 morts, plus de 357 blessés, ainsi que la répression violente sans aucune mesure contre les manifestants. Il dénonce aussi les arrestations arbitraires et l’emprisonnement sans fondement légal de personnes innocentes pour des motifs fallacieux.
Ainsi, M. Tine fustige la déstabilisation et la mise en danger répétée de notre démocratie par le maintien volontaire d’un doute quant à une candidature à un troisième mandat “anticonstitutionnel et immoral”.
EnQuete