« Chers amis, nous sommes dans un monde de communication, conversation, dialogues se multipliant à tous les échelons de la société. Les moyens de communications diffusent partout et très vite, les discours, les textes jusqu’aux moindres détails. Les réseaux sociaux semblent avoir de beaux jours devant eux. Et pourtant, la vraie communication, la vraie communion ne trouvent pas à s’en favoriser.
La preuve est qu’avec nos écrans, nous avons tendance à ne plus faire attention à celui qui est à côté de nous, à celui qui est avec nous, comme notre conjoint, les enfants, les parents et les voisins.
S’il est relativement plus facile de communiquer, il est souvent bien difficile de comprendre le prochain, de comprendre le proche le plus immédiat, les différentes sensibilités, la recherche d’intérêts particuliers, et nos égoïstes de toute sorte parasitent nos communications, nos liens et la qualité de notre communion. On peut apparemment parler le même langage, et pourtant, la parole de l’autre nous reste fermée. C’est la confusion des langues que la Bible nous présente, comme la condamnation et les signes du péché dans l’épisode de la Tour de Babel », a-t-il prêché.
Abbé Gérard Diène de poursuivre : « c’est pourquoi, le miracle de l’âme le jour de la Pentecôte, miracle exemplaire de l’action de l’esprit saint, apparaît aujourd’hui, comme une nécessité urgente, pour nos familles qui sont les lieux de sanctification pour parents et enfants. Nous n’avons guère à attendre que ce miracle s’opère directement. Mais nous devons espérer qu’il se réalise dans la transformation des cœurs »
emedia.sn
La preuve est qu’avec nos écrans, nous avons tendance à ne plus faire attention à celui qui est à côté de nous, à celui qui est avec nous, comme notre conjoint, les enfants, les parents et les voisins.
S’il est relativement plus facile de communiquer, il est souvent bien difficile de comprendre le prochain, de comprendre le proche le plus immédiat, les différentes sensibilités, la recherche d’intérêts particuliers, et nos égoïstes de toute sorte parasitent nos communications, nos liens et la qualité de notre communion. On peut apparemment parler le même langage, et pourtant, la parole de l’autre nous reste fermée. C’est la confusion des langues que la Bible nous présente, comme la condamnation et les signes du péché dans l’épisode de la Tour de Babel », a-t-il prêché.
Abbé Gérard Diène de poursuivre : « c’est pourquoi, le miracle de l’âme le jour de la Pentecôte, miracle exemplaire de l’action de l’esprit saint, apparaît aujourd’hui, comme une nécessité urgente, pour nos familles qui sont les lieux de sanctification pour parents et enfants. Nous n’avons guère à attendre que ce miracle s’opère directement. Mais nous devons espérer qu’il se réalise dans la transformation des cœurs »
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