Mamadou Sow, alias Doudou Mbodj, premier accusé à être jugé sous la nouvelle loi criminalisant le viol, a eu la chance d'être sorti de cette affaire de viol sur mineure âgée de 14 ans. Alors que le procureur avait alors de son procès requis contre lui 10 ans de réclusion criminelle, hier, mercredi, le juge de la chambre criminelle de Dakar l'a purement et simplement acquitté pour les chefs d'inculpation d'association de malfaiteurs, d'enlèvement de mineure, séquestration de viol collectif et de pédophilie.
Pour rappel, courant 2019 à Rufisque, en compagnie d'un certain Bara et Mbaye Diallo, il était accusé d'avoir violé la petite K. Diagne. Cette dernière était envoyée par son père, El Hadji Malick Diagne pour récupérer son portable. Et c'est en cours de route qu'ils l'ont interceptée et conduit dans un bâtiment en construction.
Mais lors de son face-à-face avec le juge de la chambre criminelle, il avait nié ces accusations même s'il avait reconnu qu'il se trouvait sur le lieu du crime ce jour-là. Par contre, la victime l'avait accusé ainsi que ses autres acolytes en fuite
Selon les "Échos", la fille avait soutenu avoir été jetée à terre puis abusée sexuellement à tour de rôle par ces individus. Mais le certificat médical avait révélé que la fillette souffrait de lésions vulvaires postérieures récentes.
Ainsi, la blouse blanche avait dans son rapport conclu qu'il n'y avait pas eu de défloration. Cependant cela n'avait pas empêché le civilement responsable de la fille de réclamer la somme d'un million F Cfa à titre de réparation.
Pour rappel, courant 2019 à Rufisque, en compagnie d'un certain Bara et Mbaye Diallo, il était accusé d'avoir violé la petite K. Diagne. Cette dernière était envoyée par son père, El Hadji Malick Diagne pour récupérer son portable. Et c'est en cours de route qu'ils l'ont interceptée et conduit dans un bâtiment en construction.
Mais lors de son face-à-face avec le juge de la chambre criminelle, il avait nié ces accusations même s'il avait reconnu qu'il se trouvait sur le lieu du crime ce jour-là. Par contre, la victime l'avait accusé ainsi que ses autres acolytes en fuite
Selon les "Échos", la fille avait soutenu avoir été jetée à terre puis abusée sexuellement à tour de rôle par ces individus. Mais le certificat médical avait révélé que la fillette souffrait de lésions vulvaires postérieures récentes.
Ainsi, la blouse blanche avait dans son rapport conclu qu'il n'y avait pas eu de défloration. Cependant cela n'avait pas empêché le civilement responsable de la fille de réclamer la somme d'un million F Cfa à titre de réparation.