Les militants de l’APR ont battu le rappel de la mobilisation à Ziguinchor pour prendre part à une assemblée générale de leur formation politique. La permanence du parti est prise d’assaut par une foule nombreuse. Des banderoles et des pancartes des différentes tendances étaient visibles à l’intérieur et en dehors du siège de l’APR.
A l’arrivée des responsables locaux du parti, des militants de tendances non favorables s’opposent à leur accès à la salle. Des bousculades et des jets de pierres s’en sont suivis. Des responsables comme Aminata Angélique Manga (Directrice générale de l’ANRAC) et Amy Tamba sont interdites d’accès à la permanence.
"C’est un spectacle déplorable. Une mauvaise image de l’APR dans la région. Comment peut-on interdire à des responsables politiques d’accéder en salle pour prendre part à une assemblée générale ?", a regretté Mamadou Barry, responsable de l’APR et directeur général de l’Agence nationale des éco-villages.
"Ce n’est pas une réunion qui a fini en queue de poisson. Il y a pire que cela. Ce sont des enfantillages dignes des enfants de la Case des tout-petits. Que des responsables empêchent à d’autres responsables d’entrer à la salle (…) pour confectionner des listes en perspective des élections législatives, ce n’est pas normal", a accusé Aminata Angélique Manga qui n’a pas pu accéder à la salle de réunion.
Accusé de monter certains militants contre des responsables locaux, Benoît Sambou dit tirer "tous les enseignements" de cet incident".
"Je ne porte pas les affaires internes du parti devant la justice. Nous avons pris toutes les dispositions pour inviter tout le monde. Mais malheureusement, des responsables de mouvements politiques sont venus. Il y a eu des perturbations entre certains responsables et des militants. Nous allons tirer toutes les conséquences", a répliqué M. Sambou.
Le coordonnateur de l’APR dans le département de Ziguinchor a alerté sur un "syndrome de la division avec les tendances qui risque de miner le parti" en perspective des élections législatives prévues dans cinq mois.
A l’arrivée des responsables locaux du parti, des militants de tendances non favorables s’opposent à leur accès à la salle. Des bousculades et des jets de pierres s’en sont suivis. Des responsables comme Aminata Angélique Manga (Directrice générale de l’ANRAC) et Amy Tamba sont interdites d’accès à la permanence.
"C’est un spectacle déplorable. Une mauvaise image de l’APR dans la région. Comment peut-on interdire à des responsables politiques d’accéder en salle pour prendre part à une assemblée générale ?", a regretté Mamadou Barry, responsable de l’APR et directeur général de l’Agence nationale des éco-villages.
"Ce n’est pas une réunion qui a fini en queue de poisson. Il y a pire que cela. Ce sont des enfantillages dignes des enfants de la Case des tout-petits. Que des responsables empêchent à d’autres responsables d’entrer à la salle (…) pour confectionner des listes en perspective des élections législatives, ce n’est pas normal", a accusé Aminata Angélique Manga qui n’a pas pu accéder à la salle de réunion.
Accusé de monter certains militants contre des responsables locaux, Benoît Sambou dit tirer "tous les enseignements" de cet incident".
"Je ne porte pas les affaires internes du parti devant la justice. Nous avons pris toutes les dispositions pour inviter tout le monde. Mais malheureusement, des responsables de mouvements politiques sont venus. Il y a eu des perturbations entre certains responsables et des militants. Nous allons tirer toutes les conséquences", a répliqué M. Sambou.
Le coordonnateur de l’APR dans le département de Ziguinchor a alerté sur un "syndrome de la division avec les tendances qui risque de miner le parti" en perspective des élections législatives prévues dans cinq mois.