«Nous ne voulons pas de sacs de riz, encore moins d’huile ou de savon. Nous voulons juste des camions de sable pour aborder l’hivernage en toute tranquillité ». C’est le cri de cœur d’une habitante de la localité au micro de la radio Zik FM. Mais en plus de la psychose des inondations, les populations doivent aussi conjuguer avec l’insécurité. Toutes choses qui font dire à Mamadou Fall, un habitant de la commune : «Nous sommes découragés».
Souleymane KANE