Bouba Kandji et Sakhoudia Diongue peuvent se vanter d'avoir de la veine, car ils auraient pu atterrir devant la barre de la Chambre criminelle, pour le crime de vol en réunion commis la nuit avec moyen de transport. Mais au lieu de ça, ils ont finalement été inculpés pour le délit de vol simple. Il y a deux mois, les deux camarades qui sillonnaient le centre-ville de la commune de Touba, ont volé le sac à main d'une dame qui attendait un taxi sur le bord de la route, rapporte "L'As".
Malheureusement pour eux, ils ont très vite été rattrapés par une bande de jeunes conducteurs de mototaxi, témoins de la scène. Le sac à main remis à la jeune femme, les jeunes ont conduit les deux voleurs au Commissariat spécial de Touba où ils sont passés aux aveux. Placés en garde-à -vue, Bouba Kandji et Sakhoudia Diongue ont été présentés au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Diourbel, deux jours plus tard.Mais ils ont bénéficié d'un retour de parquet après qu'un commerçant nommé Moustapha Niang, qui les a accusés de lui avoir subtilisé son sac à dos contenant sept cent mille francs Cfa, la même nuit, s'est constitué partie civile. Face à la barre, les deux accusés ont réitéré leurs aveux faits aussi bien à l'enquête que devant le magistrat instructeur. Ils ont ainsi reconnu le vol du sac à main, mais en revanche, ils ont nié avoir volé le sac à dos de Moustapha Niang. Celui-ci, dont les accusations sont tirées par les cheveux, parce que n'ayant pas vu les accusés au moment des faits, et étant incapable de les identifier, a tout de même réclamé un million et demi de dommages et intérêts. Pour sa part, le représentant du ministère public a invité le tribunal à faire la part des choses.Selon le parquet, si tous les éléments du dossier démontrent la culpabilité des deux accusés pour le vol du sac à main de la dame, rien par contre ne permettait d'établir sans le moindre doute, la culpabilité des prévenus pour le vol du sac à dos de Moustapha Niang. Ainsi, le procureur a requis la relaxe de Bouba Kandji et Sakhoudia Diongue pour ce délit. Au terme de son réquisitoire, il a demandé que les deux jeunes soient condamnés à six mois de prison ferme. Rendant son verdict, le tribunal a condamné Bouba Kandji et Sakhoudia Diongue, à six mois de prison ferme.
Malheureusement pour eux, ils ont très vite été rattrapés par une bande de jeunes conducteurs de mototaxi, témoins de la scène. Le sac à main remis à la jeune femme, les jeunes ont conduit les deux voleurs au Commissariat spécial de Touba où ils sont passés aux aveux. Placés en garde-à -vue, Bouba Kandji et Sakhoudia Diongue ont été présentés au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Diourbel, deux jours plus tard.Mais ils ont bénéficié d'un retour de parquet après qu'un commerçant nommé Moustapha Niang, qui les a accusés de lui avoir subtilisé son sac à dos contenant sept cent mille francs Cfa, la même nuit, s'est constitué partie civile. Face à la barre, les deux accusés ont réitéré leurs aveux faits aussi bien à l'enquête que devant le magistrat instructeur. Ils ont ainsi reconnu le vol du sac à main, mais en revanche, ils ont nié avoir volé le sac à dos de Moustapha Niang. Celui-ci, dont les accusations sont tirées par les cheveux, parce que n'ayant pas vu les accusés au moment des faits, et étant incapable de les identifier, a tout de même réclamé un million et demi de dommages et intérêts. Pour sa part, le représentant du ministère public a invité le tribunal à faire la part des choses.Selon le parquet, si tous les éléments du dossier démontrent la culpabilité des deux accusés pour le vol du sac à main de la dame, rien par contre ne permettait d'établir sans le moindre doute, la culpabilité des prévenus pour le vol du sac à dos de Moustapha Niang. Ainsi, le procureur a requis la relaxe de Bouba Kandji et Sakhoudia Diongue pour ce délit. Au terme de son réquisitoire, il a demandé que les deux jeunes soient condamnés à six mois de prison ferme. Rendant son verdict, le tribunal a condamné Bouba Kandji et Sakhoudia Diongue, à six mois de prison ferme.