Alors que cette dernière lui avait chargé de réparer leur moto, Samba Ndoye, piqué par l’on ne sait quelle mouche, a vendu l’engin. À la barre, le mis en cause, cousin de la secrétaire du commissaire de police, fait croire au juge que la moto a été volée. «J’avais reçu la moto le 18 octobre. Je devais la réparer. Mais, on l’a volée. Je peux verser un acompte de 150.000 francs Cfa, après mon élargissement. La valeur de la moto ne dépasse pas 200 mille francs Cfa», propose-t-il.
D’après les éléments de l’enquête, il avait dit aux policiers que la moto était prête. Quand ces derniers lui ont demandé de l’amener, il n’était pas en mesure de la représenter. «J’avais donné un délai de 3 à 4 jours. La moto a été volée dans la nuit du mercredi 2 novembre. Un copain m’avait dit que la moto est avec les ferrailleurs. Je suis parti à la rencontre de ces derniers, je n’ai pas vu le cadre. Il avait déjà dépiécé la moto», soutient-il. Malgré ses dénégations, le juge l’a reconnu coupable des faits d’abus de confiance, avant de le condamner à un mois ferme.
Appelé à nouveau à la barre pour les mêmes faits, une peine ferme de 3 mois est venue s’ajouter à la condamnation initiale d’un mois. Cette fois-ci aussi, il est poursuivi pour les mêmes faits de vol au préjudice de Etienne Sakho Sarr. Selon l’accusation, celui-ci lui avait donné sa moto de marque Beverly, pour qu’il la lui répare. Mais selon la partie civile qui avait déjà payé les frais de réparation, Samba Ndoye a vendu sa moto. Ce que ce dernier a encore contesté.
«Étienne et moi habitons le même quartier à Grand-Dakar. C’est après mon arrestation, qu’il est venu à la police où j’ai passé quatre jours. La moto se trouve dans mon atelier. Je ne l’ai pas vendue. J’étais absent le jour où il s’était présenté dans mon atelier pour récupérer son bien. J’étais parti près du cimetière Saint Lazare pour décharger un conteneur», se dédouane-t-il. À l’en croire, s’il n’a pas restitué au plaignant sa moto, c’est parce qu’elle n’est pas encore prête.
À la suite du substitut du procureur qui a encore requis l’application de la loi contre Samba Ndoye, le tribunal a condamné celui-ci à 3 mois ferme, après l’avoir déclaré coupable d’abus de confiance.
D’après les éléments de l’enquête, il avait dit aux policiers que la moto était prête. Quand ces derniers lui ont demandé de l’amener, il n’était pas en mesure de la représenter. «J’avais donné un délai de 3 à 4 jours. La moto a été volée dans la nuit du mercredi 2 novembre. Un copain m’avait dit que la moto est avec les ferrailleurs. Je suis parti à la rencontre de ces derniers, je n’ai pas vu le cadre. Il avait déjà dépiécé la moto», soutient-il. Malgré ses dénégations, le juge l’a reconnu coupable des faits d’abus de confiance, avant de le condamner à un mois ferme.
Appelé à nouveau à la barre pour les mêmes faits, une peine ferme de 3 mois est venue s’ajouter à la condamnation initiale d’un mois. Cette fois-ci aussi, il est poursuivi pour les mêmes faits de vol au préjudice de Etienne Sakho Sarr. Selon l’accusation, celui-ci lui avait donné sa moto de marque Beverly, pour qu’il la lui répare. Mais selon la partie civile qui avait déjà payé les frais de réparation, Samba Ndoye a vendu sa moto. Ce que ce dernier a encore contesté.
«Étienne et moi habitons le même quartier à Grand-Dakar. C’est après mon arrestation, qu’il est venu à la police où j’ai passé quatre jours. La moto se trouve dans mon atelier. Je ne l’ai pas vendue. J’étais absent le jour où il s’était présenté dans mon atelier pour récupérer son bien. J’étais parti près du cimetière Saint Lazare pour décharger un conteneur», se dédouane-t-il. À l’en croire, s’il n’a pas restitué au plaignant sa moto, c’est parce qu’elle n’est pas encore prête.
À la suite du substitut du procureur qui a encore requis l’application de la loi contre Samba Ndoye, le tribunal a condamné celui-ci à 3 mois ferme, après l’avoir déclaré coupable d’abus de confiance.