Selon le directeur de cette structure d’enseignement des sciences, Edmond Basseck, «le ou les voleur(s) ont amené une charrette. Nous avons suivi les traces ce vendredi matin. 4 ordinateurs sont dérobés de la salle informatique».
Dépité, M. Basseck ajoute : «Ça c’est un acharnement contre le bloc scientifique. Je ne sais pas qui y a intérêt. C’est la 3ème fois que cela arrive. En début d’année, c’est 1 ordinateur qu’on a volé, la 2ème fois ils n’ont rien emporté, ils ont juste défoncé portes et fenêtres et cette fois, ils ont vidé la salle.»
La gendarmerie a fait un déplacement sur les lieux après en avoir été informée par le directeur. Les premiers soupçons sont portés sur le gardien qui est actuellement en détention, en attendant la suite de l’enquête.
A rappeler que le Bst de Vélingara est victime de vol pour la 4ème fois ces 3 dernières années. Une toute première tentative de vol a eu lieu en 2020. Cette année-là , les présumés voleurs, après être entrés par effraction dans le bureau du directeur, ont fouillé dans les armoires et ont mis sens dessous-dessus tous les archives, histoire d’y retrouver des espèces sonnantes et trébuchantes. Rien n’a été emporté, fort heureusement.
Le Quotidien
Dépité, M. Basseck ajoute : «Ça c’est un acharnement contre le bloc scientifique. Je ne sais pas qui y a intérêt. C’est la 3ème fois que cela arrive. En début d’année, c’est 1 ordinateur qu’on a volé, la 2ème fois ils n’ont rien emporté, ils ont juste défoncé portes et fenêtres et cette fois, ils ont vidé la salle.»
La gendarmerie a fait un déplacement sur les lieux après en avoir été informée par le directeur. Les premiers soupçons sont portés sur le gardien qui est actuellement en détention, en attendant la suite de l’enquête.
A rappeler que le Bst de Vélingara est victime de vol pour la 4ème fois ces 3 dernières années. Une toute première tentative de vol a eu lieu en 2020. Cette année-là , les présumés voleurs, après être entrés par effraction dans le bureau du directeur, ont fouillé dans les armoires et ont mis sens dessous-dessus tous les archives, histoire d’y retrouver des espèces sonnantes et trébuchantes. Rien n’a été emporté, fort heureusement.
Le Quotidien