La voie de dégagement nord numéro 3 de Guédiawaye, un carrefour qui abrite des accidents de tout bord. En effet, ce phénomène quotidien est dû à «l’insécurité, le manque de lumière et à l’étroitesse de la route».
Étant victime d’un accident sur la route allant à la cité Apix, M. Mbaye nous décrit la chaîne et fait l’état des lieux de cette zone. Emmitouflé dans un pantalon tailleur bleu sur une chemise carrelée en noir et blanc, assis au bord du cafeteria, il explique :
«En tout cas, ce dont je me souviens, ce jour-là , c’est qu’il y avait une voiture en face de moi, de marque 307, qui roulait à vive allure de même que la mienne. Tout à coup elle a freiné, brusquement. C’est à ce moment que j’ai lâché prise en ne pouvant plus freiner. J’ai heurté la partie arrière de celle-ci et soudainement un autre véhicule de marque Toyota est venue se coltiner à la mienne».
La victime continue : «C’est ce véhicule qui a causé beaucoup de blessés, et à ce qu’il paraît, la voiture n’avait pas de papier ; ce qui justifie la mise en fourrière par la police du véhicule».
Pour sa part, souligne M. Mbaye, «la Vdn n’est pas assez éclairée, à la limite, je peux même dire qu’il n’y a même pas de lumière qui éclaire la route, et c’est cela la cause primordiale de ces accidents qu’on note ces temps-ci».
«Je suggère que les autorités étatiques qui résident dans cette zone pensent à mettre des lampes d’éclairages sur tous les niveaux, voire même des caméras de surveillance, en cas de danger», martèle-t-il.
Pour appuyer les dires de son ami ou confirmer ce qu’il vient de renseigner, O. Sarr, conducteur de voiture clandestin connu sous le nom de «taxi-clando», affirme : «Je ne peux passer deux jours successifs sans voir de cas d’accident sur la Vdn, c’est impossible», lâche furax ce jeune conducteur avant de continuer son chemin en quête de passagers de destination Gaday ou Hamo 6.
En dépit d’absence de lumière, on note la lenteur des agents de secours. Interpellé sur la question, D. Bocoum, témoin oculaire d’un accident ce dimanche, parle de la situation actuelle qui suscite un débat communautaire.
Avec sa tasse de café en main, «l’accident s’est passé vers les coups de 20 heures du soir. On a appelé les secours mais ce qui est plus grave ils sont venus vers 22 heures, tandis que les victimes souffraient de toutes peines et douleurs», rétorque-t-il.
Tribune
Étant victime d’un accident sur la route allant à la cité Apix, M. Mbaye nous décrit la chaîne et fait l’état des lieux de cette zone. Emmitouflé dans un pantalon tailleur bleu sur une chemise carrelée en noir et blanc, assis au bord du cafeteria, il explique :
«En tout cas, ce dont je me souviens, ce jour-là , c’est qu’il y avait une voiture en face de moi, de marque 307, qui roulait à vive allure de même que la mienne. Tout à coup elle a freiné, brusquement. C’est à ce moment que j’ai lâché prise en ne pouvant plus freiner. J’ai heurté la partie arrière de celle-ci et soudainement un autre véhicule de marque Toyota est venue se coltiner à la mienne».
La victime continue : «C’est ce véhicule qui a causé beaucoup de blessés, et à ce qu’il paraît, la voiture n’avait pas de papier ; ce qui justifie la mise en fourrière par la police du véhicule».
Pour sa part, souligne M. Mbaye, «la Vdn n’est pas assez éclairée, à la limite, je peux même dire qu’il n’y a même pas de lumière qui éclaire la route, et c’est cela la cause primordiale de ces accidents qu’on note ces temps-ci».
«Je suggère que les autorités étatiques qui résident dans cette zone pensent à mettre des lampes d’éclairages sur tous les niveaux, voire même des caméras de surveillance, en cas de danger», martèle-t-il.
Pour appuyer les dires de son ami ou confirmer ce qu’il vient de renseigner, O. Sarr, conducteur de voiture clandestin connu sous le nom de «taxi-clando», affirme : «Je ne peux passer deux jours successifs sans voir de cas d’accident sur la Vdn, c’est impossible», lâche furax ce jeune conducteur avant de continuer son chemin en quête de passagers de destination Gaday ou Hamo 6.
En dépit d’absence de lumière, on note la lenteur des agents de secours. Interpellé sur la question, D. Bocoum, témoin oculaire d’un accident ce dimanche, parle de la situation actuelle qui suscite un débat communautaire.
Avec sa tasse de café en main, «l’accident s’est passé vers les coups de 20 heures du soir. On a appelé les secours mais ce qui est plus grave ils sont venus vers 22 heures, tandis que les victimes souffraient de toutes peines et douleurs», rétorque-t-il.
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