Mais, aux dernières nouvelles, ils ont bénéficié d’un retour de parquet. Ce qui serait synonyme d’un prolongement de garde à vue qui renseigne sur la volonté de la police de mettre en lumière les zones d’ombre qui entourent cette affaire.
Le premier fait troublant porte sur la grande ouverture contiguë au portail et à travers laquelle peut se glisser aisément un individu. D’ailleurs, c’est à travers cette fente que se sont engouffrés les deux malfaiteurs.
Autre curiosité : aucun dispositif sécuritaire n’a été pris pour boucher cette ouverture, si l’on sait que quelques jours auparavant, une tentative de cambriolage y avait été relevée. Où se trouvaient les proposés cette nuit du 25 au 26 août ?
Parce que selon l’enquête préliminaire, les cambrioleurs ont accédé aux bureaux par effraction et y sont ressortis librement sans être inquiétés, avec leur butin estimé à 13 784 000 ou 22 883 000, (c’est selon les versions des malfaiteurs et du régisseur).
Autre question : pourquoi cette somme n’a pas destinée au paiement des bourses des étudiants n’a pas été gardée dans le coffre-fort du régisseur, comme il est recommandé, mais minablement jetée dans une valise, placés sous le bureau du patron ?
Sur cette interrogation des éléments de la police du Point E, le patron des lieux explique qu’il avait rendez-vous en ville et qu’il avait prévu, une fois de retour à son bureau, de procéder à un décompte physique des liasses, avant de les sécuriser.
Parallèlement, la police scientifique s’attèle à travers les résultats de prélèvements à même de caractériser l’infraction et, au besoin, situer un probable chaîne de responsabilité dans cette affaire.
Source: L'Observateur
Le premier fait troublant porte sur la grande ouverture contiguë au portail et à travers laquelle peut se glisser aisément un individu. D’ailleurs, c’est à travers cette fente que se sont engouffrés les deux malfaiteurs.
Autre curiosité : aucun dispositif sécuritaire n’a été pris pour boucher cette ouverture, si l’on sait que quelques jours auparavant, une tentative de cambriolage y avait été relevée. Où se trouvaient les proposés cette nuit du 25 au 26 août ?
Parce que selon l’enquête préliminaire, les cambrioleurs ont accédé aux bureaux par effraction et y sont ressortis librement sans être inquiétés, avec leur butin estimé à 13 784 000 ou 22 883 000, (c’est selon les versions des malfaiteurs et du régisseur).
Autre question : pourquoi cette somme n’a pas destinée au paiement des bourses des étudiants n’a pas été gardée dans le coffre-fort du régisseur, comme il est recommandé, mais minablement jetée dans une valise, placés sous le bureau du patron ?
Sur cette interrogation des éléments de la police du Point E, le patron des lieux explique qu’il avait rendez-vous en ville et qu’il avait prévu, une fois de retour à son bureau, de procéder à un décompte physique des liasses, avant de les sécuriser.
Parallèlement, la police scientifique s’attèle à travers les résultats de prélèvements à même de caractériser l’infraction et, au besoin, situer un probable chaîne de responsabilité dans cette affaire.
Source: L'Observateur