Le commissariat de police de Guinaw-rails dans dans la banlieue dakaroise, a présenté avant-hier la fille Mairie E devant le procureur de la République, pour vol de biens au préjudice de la vieille dame A. Senghor. Celle-ci est la tante de la mise en cause et s'occupe d'elle tant bien que mal, dans sa luxueuse villa "bunkerisée" située au cœur de Pikine Tally Boumack. La mise en cause est âgée de 40 ans, divorcée et mère de famille.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 21 au 22 janvier 2016. Ce jour-là, Mme A. Senghor reçoit chez elle sa nièce Mairie E et lui demande de faire la cuisine pour le repas du soir. Celle-ci s'exécute, prépare un plat de couscous, en y mettant du somnifère, et sert sa tante. A peine commence-t-elle à déguster le dîner, la bonne dame se met à somnoler avant de sombrer dans un sommeil profond, nous renseigne "Les Echos".
Mais, au cours de sa fuite, elle abandonne ses effets vestimentaires dans la concession. La tante se réveille le lendemain, remarque l'absence de sa nièce et se fait du mouron. Elle promène le regards autour d'elle, constante la disparition mystérieuse du sac contenant ses biens et soupçonne la fille. Qui reste introuvable et injoignable.
La longue traque à la prostituée voleuse de sa tante retraitée
Mme Senghor fait fi de leurs relations parentales, dépose une plainte contre sa nièce au commissariat de police et se constitue partie civile. Mais les recherches n'ont rien donné. Un an et demi plus tard, elle saisit le parquet du tribunal départemental d'une plainte et attend la suite de son dossier. Le parquet examine la lettre plainte, active les limiers de Guinaw-rails et leur confie l'affaire sous forme de soit transmis. Les flics entrent en action et se lancent aux trousses de la prostituée présumée voleuse.
La police coince la fille de joie grâce à la géolocalisation des coups de fil
Sachant qu'elle est activement recherchée, Mairie F. use de subterfuges, fréquente les casinos huppés de Dakar et joue au chat et à la souris avec les limiers. Elle sort uniquement la nuit, effectue ses courses et retourne dans sa cachette sise aux alentours immédiats du casino du Port autonome de Dakar au Môle 2. Mais, en passant des appels téléphoniques, elle est immédiatement prise en filature, grâce au système de géolocalisation, par les policiers, qui font une descente en plein jour le week-end dernier à la niche de la belle de nuit et lui passent les menottes. Ils l'acheminent au commissariat et la livrent aux enquêteurs.
Des faits troublants qui enfoncent Mairie F.
Mairie F. a nié catégoriquement les faits incriminés sans convaincre de sa bonne foi les limiers. Quelques gestes troublants sous forme de questionnements ont cependant plaidé en sa défaveur. Pourquoi-a-telle quitté précipitamment la maison de sa tante tout en abandonnant ses affaires personnelles ? Qu'est-ce qui explique le brusque sommeil profond de la bonne dame, juste après avoir mangé le plat de couscous préparé chez elle par la mise en cause ? Pourquoi la subite disparition de la fille de la villa alors qu'elle y était employée ?
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 21 au 22 janvier 2016. Ce jour-là, Mme A. Senghor reçoit chez elle sa nièce Mairie E et lui demande de faire la cuisine pour le repas du soir. Celle-ci s'exécute, prépare un plat de couscous, en y mettant du somnifère, et sert sa tante. A peine commence-t-elle à déguster le dîner, la bonne dame se met à somnoler avant de sombrer dans un sommeil profond, nous renseigne "Les Echos".
Mais, au cours de sa fuite, elle abandonne ses effets vestimentaires dans la concession. La tante se réveille le lendemain, remarque l'absence de sa nièce et se fait du mouron. Elle promène le regards autour d'elle, constante la disparition mystérieuse du sac contenant ses biens et soupçonne la fille. Qui reste introuvable et injoignable.
La longue traque à la prostituée voleuse de sa tante retraitée
Mme Senghor fait fi de leurs relations parentales, dépose une plainte contre sa nièce au commissariat de police et se constitue partie civile. Mais les recherches n'ont rien donné. Un an et demi plus tard, elle saisit le parquet du tribunal départemental d'une plainte et attend la suite de son dossier. Le parquet examine la lettre plainte, active les limiers de Guinaw-rails et leur confie l'affaire sous forme de soit transmis. Les flics entrent en action et se lancent aux trousses de la prostituée présumée voleuse.
La police coince la fille de joie grâce à la géolocalisation des coups de fil
Sachant qu'elle est activement recherchée, Mairie F. use de subterfuges, fréquente les casinos huppés de Dakar et joue au chat et à la souris avec les limiers. Elle sort uniquement la nuit, effectue ses courses et retourne dans sa cachette sise aux alentours immédiats du casino du Port autonome de Dakar au Môle 2. Mais, en passant des appels téléphoniques, elle est immédiatement prise en filature, grâce au système de géolocalisation, par les policiers, qui font une descente en plein jour le week-end dernier à la niche de la belle de nuit et lui passent les menottes. Ils l'acheminent au commissariat et la livrent aux enquêteurs.
Des faits troublants qui enfoncent Mairie F.
Mairie F. a nié catégoriquement les faits incriminés sans convaincre de sa bonne foi les limiers. Quelques gestes troublants sous forme de questionnements ont cependant plaidé en sa défaveur. Pourquoi-a-telle quitté précipitamment la maison de sa tante tout en abandonnant ses affaires personnelles ? Qu'est-ce qui explique le brusque sommeil profond de la bonne dame, juste après avoir mangé le plat de couscous préparé chez elle par la mise en cause ? Pourquoi la subite disparition de la fille de la villa alors qu'elle y était employée ?