Une professeure du lycée professionnel Sonia-Delaunay de Blois (Loir-et-Cher) a été hospitalisée dans un état grave, après s'être défenestrée du deuxième étage de son établissement en plein cours vendredi matin, a-t-on appris de sources concordantes.
L'enseignante d'économie-gestion, âgée d'une soixantaine d'années, était "consciente à l'arrivée des secours" et a été transportée par le SMUR à l'hôpital de Blois, a indiqué l'académie d'Orléans-Tours. La victime est "gravement blessée", ont confirmé les pompiers du Loir-et-Cher, sans plus de précision.
Les élèves "sous le choc"
"Elle a mis son manteau, (...) elle a ouvert la fenêtre et elle s'est jetée. C'est ce que les élèves ont dit à la proviseure", a expliqué à l'AFP la directrice académique du Loir-et-Cher, Sandrine Lair.
Les raisons de son geste restent inconnues, selon l'académie. Contacté par France 3, le Procureur de la République de Blois a déclaré qu'il n'y avait pour le moment aucune enquête ouverte. Les forces de l’ordre procèdent encore pour l'instant "aux constats et aux auditions d’usage", selon le média.
Les quinze élèves de terminale présents au moment du drame, "sous le choc" selon les pompiers, ont été pris en charge par une cellule psychologique du Samu. Les autres lycéens et personnels de l'établissement ont reçu le soutien de la cellule psychologique de la direction des services départementaux de l'Education nationale (DSDEN41).
L'enseignante d'économie-gestion, âgée d'une soixantaine d'années, était "consciente à l'arrivée des secours" et a été transportée par le SMUR à l'hôpital de Blois, a indiqué l'académie d'Orléans-Tours. La victime est "gravement blessée", ont confirmé les pompiers du Loir-et-Cher, sans plus de précision.
Les élèves "sous le choc"
"Elle a mis son manteau, (...) elle a ouvert la fenêtre et elle s'est jetée. C'est ce que les élèves ont dit à la proviseure", a expliqué à l'AFP la directrice académique du Loir-et-Cher, Sandrine Lair.
Les raisons de son geste restent inconnues, selon l'académie. Contacté par France 3, le Procureur de la République de Blois a déclaré qu'il n'y avait pour le moment aucune enquête ouverte. Les forces de l’ordre procèdent encore pour l'instant "aux constats et aux auditions d’usage", selon le média.
Les quinze élèves de terminale présents au moment du drame, "sous le choc" selon les pompiers, ont été pris en charge par une cellule psychologique du Samu. Les autres lycéens et personnels de l'établissement ont reçu le soutien de la cellule psychologique de la direction des services départementaux de l'Education nationale (DSDEN41).