L’Observatoire national des lieux de privation de liberté (ONLPL), par la voix de sa présidente Josette Marcelline Lopez Ndiaye, fait état d’une "forte régression" des cas de torture, de moins en moins rapportés au Sénégal, grâce aux activités de sensibilisation et d’information.
"Avant que je ne vienne, il y avait beaucoup de cas de torture (…) mais depuis qu’on est là en 2017, les choses semblent beaucoup s’améliorer, des cas de torture, on en entend parler, mais ils restent de plus en plus rares", a-t-elle soutenu, sans donner de statistiques.
Josette Marceline Lopez Ndiaye prenait part jeudi à un atelier de formation de près d’une vingtaine d’agents d’exécution des lois sur la prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants, une rencontre qui se tient à Thiès.
‘"Nous sommes tous des humains. Il arrive des moments où les gens sont exacerbés par leur condition ou sont stressés, on ne peut pas empêcher qu’il y ait des mouvements d’humeur, mais il y a une nette amélioration (par rapport) aux cas de torture", a-t-elle déclaré.
Pour Josette Marceline Lopez Ndiaye, "cette forte régression est un constat, car l’ONLPL est de moins en moins interpellée sur des cas de torture". "On en parle de moins en moins dans les journaux, les ONG et organisations de la société civile également en parlent aussi de moins en moins".
Selon Mme Ndiaye, l’ONLPL "a fait le tour du Sénégal pour sensibiliser et communiquer sur les peines encourues par les auteurs de torture", si bien que les agents d’exécution des lois sont "désormais très sensibilisés et mieux informés" sur la question.
L’article 295-1 du code pénal définit la torture comme des "blessures, coups, violences physiques ou mentales ou autres voies de fait commis volontairement par un agent de la fonction publique ou par toute autre personne agissant à titre officiel ou à son instigation ou avec son consentement express ou tacite soit pour obtenir des renseignements ou des aveux ou pour exercer des représailles ou des actes d’intimidation, soit dans un but de discrimination quelconque".
Les auteurs de torture encourent une peine de 5 à 10 ans d’emprisonnement ferme et une amende 100.000 à 500.000 FCFA.
Aps
"Avant que je ne vienne, il y avait beaucoup de cas de torture (…) mais depuis qu’on est là en 2017, les choses semblent beaucoup s’améliorer, des cas de torture, on en entend parler, mais ils restent de plus en plus rares", a-t-elle soutenu, sans donner de statistiques.
Josette Marceline Lopez Ndiaye prenait part jeudi à un atelier de formation de près d’une vingtaine d’agents d’exécution des lois sur la prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants, une rencontre qui se tient à Thiès.
‘"Nous sommes tous des humains. Il arrive des moments où les gens sont exacerbés par leur condition ou sont stressés, on ne peut pas empêcher qu’il y ait des mouvements d’humeur, mais il y a une nette amélioration (par rapport) aux cas de torture", a-t-elle déclaré.
Pour Josette Marceline Lopez Ndiaye, "cette forte régression est un constat, car l’ONLPL est de moins en moins interpellée sur des cas de torture". "On en parle de moins en moins dans les journaux, les ONG et organisations de la société civile également en parlent aussi de moins en moins".
Selon Mme Ndiaye, l’ONLPL "a fait le tour du Sénégal pour sensibiliser et communiquer sur les peines encourues par les auteurs de torture", si bien que les agents d’exécution des lois sont "désormais très sensibilisés et mieux informés" sur la question.
L’article 295-1 du code pénal définit la torture comme des "blessures, coups, violences physiques ou mentales ou autres voies de fait commis volontairement par un agent de la fonction publique ou par toute autre personne agissant à titre officiel ou à son instigation ou avec son consentement express ou tacite soit pour obtenir des renseignements ou des aveux ou pour exercer des représailles ou des actes d’intimidation, soit dans un but de discrimination quelconque".
Les auteurs de torture encourent une peine de 5 à 10 ans d’emprisonnement ferme et une amende 100.000 à 500.000 FCFA.
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