Un petit ZOOM sur les trois types de journalistes sénégalais

Les journalistes dites expérimentés

Abdou Latif Coulibaly est un journaliste sénégalais, né à Sokone. Éditorialiste réputé, journaliste d'investigation reconnu, ses enquêtes, ses reportages et autres articles font autorité dans le paysage médiatique de son pays. Il fait montre d'un franc parler et d'un courage intellectuel qui font de lui l'un des meilleurs journalistes sénégalais contemporains.
Durant une vingtaine d'années, au groupe de presse privé Sud Communication au Sénégal, il a assumé de hautes fonctions administratives et éditoriales. Il a dirigé durant plusieurs années l'Institut supérieur des sciences de l'information de Dakar (ISSIC), une école de formation en Journalisme et en Communication du groupe Sud Communication.
il lance La Gazette en mars 2009Le 29 Octobre 2012, il est nommé Ministre de la Promotion de la Bonne gouvernance et Porte-parole du deuxième gouvernement du Premier ministre Abdoul Mbaye.

Aboubacry Ba, journaliste sportif sénégalais à Canal +, est natif de Matam ou il y a fait ses études jusqu’au Bfem. Il est parti ensuite à Saint Louis pour faire le bac. Ensuite l’Université, puis le Cesti, la Rts et maintenant Canal +. Aboubacry Ba s'est forgé à la RTS avant d'aller en France. Il rejoint ensuite le légendaire Philippe Doucet pour présenter désormais l’émission « Talents d’Afrique Â» de Cana +. Dans son parcours, il a également commenté de nombreux matchs de l’équipe nationale du football du Sénégal, mais aussi de la Champions League et de la Premier League Anglaise pour la Télévision Nationale Sénégalaise (RTS), mais aussi de grands événements football tels que la Coupe des Confédération 2009, la Coupe du Monde de Football 2010, la Coupe du Monde des U17 et dernièrement l’UEFA Euro 2012.

Mame Fatou Ndoye a été titulaire d'un  Bac L. Par la suite, elle est allée en France où elle a fait deux années d’études linguistiques à Besançon. Elle continue en Licence et en Maîtrise en information et communication à Lyon. Ses stages se faisaient toujours dans le secteur du sport et s'est ce qui explique sa passion dans ce domaine.
Mame Fatou fait ses services sport à Rfi et Africa n°1. Au Sénégal, elle intégra la Radio Nostalgie en 2006 ou elle était rédactrice en chef. La journaliste à couvert deux CAN : l’édition 2012 co-organisée par la Guinée Équatoriale et le Gabon, et celle de cette année en Afrique du Sud.

Mamadou Ibra Kane, né en 1969, est un journaliste sénégalais.Journaliste, Kane travaille dans les rédactions de RTS et de Walf FM. Il fonde La Nouvelle, journal qui périclite rapidement.Il entre ensuite dans le groupe Futurs Médias de Youssou N'Dour, et prend la direction de TFM sur laquelle il présente l’émission « L’Incontournable ».Lorsque Youssou N'Dour est nommé ministre de la Culture, il démissionne du poste de directeur général du groupe au profit de Kane.  Après le Bfem, il fait le lycée Blaise Diagne. Ibra Kane faisait partie de cette génération qui a connu l’année blanche (1987-1988) ou il a perdu une année comme les autres, les Talla Sylla…Il obtint son BAC en 1991 et ira ensuite à la Faculté de droit. À la première année ça coincait pour lui et ne tarde pas à reprendre. Il eu le concours du CESTI avec une bourse ou il est entré major en 1993 et sorti deuxième en 1996 option télévision derrière l’actuel directeur de la télévision béninoise

Houreye Thiam est journaliste sénégalaise, née en 1980, mariée à un confrère, Ballé Preira et, mère de trois enfants. Originaire du Baol, à Mbacké, précisément, j’ai grandi dans la grande banlieue de Pikine. Après son cursus secondaire entre les lycées Seydou Nourou Tall et Lamine Guèye, elle aintégré le département des Lettres modernes de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, jusqu’en licence, avant de subir une formation en journalisme, au Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI). Membre de l’Association des élèves et étudiants musulmans du Sénégal et du Rassemblement islamique du Sénégal, elle se spécialise, en tant que journaliste, sur les questions politiques.

El Malick Seck est le précurseur de la presse en ligne sénégalaise avec des portails d'informations comme confidentiel.sn et politocosn.com (disparus du paysage de la presse électronique). Il a commencé à travailler dans la presse à l’âge de 18 ans. A Thiès d’abord où il été le correspondant du journal «Le Matin», avant de descendre dans la capitale pour participer au lancement du «Populaire». Ensuite, il rejoint Le «Cafard Libéré» et en 2000,il s'est retrouvé à la tête de «Deuk Bi», un journal local de Thiès. El Malick Seck collaborait avec des journaux aussi prestigieux que le «New York Times», avant la création du site «Rewmi» qui a contribué à lui faire connaître «Walf Fm». El Malick Seck analyse la sociète sénégalaise afin de mieux adapter son site et lance FACEDAKAR.COM, un site people très célébre.