La police a démantelé une nouvelle mafia internationale de confection de faux documents administratifs. Le directeur du célèbre hôtel Provençal, sis au centre-ville de Dakar et le patron du centre d’état-civil de Pout, ont été arrêtés.
D'après le récit de "Rewmi", tout est parti de l’arrestation d’un Libano-Sénégalais, le 26 mai dernier, à Rosso-Sénégal. Au poste de contrôle, le passager présente une carte nationale d’identité sénégalaise.
Suspecté par la Police de l'Air et des Frontières, il a été soumis à la fouille. C’est ainsi que des extraits de naissance et un passeport sénégalais à son nom, sont découverts dans sa valise.
Pressé de question, il craque, livre les détails de la mafia et balance H. Ch, patron de l’hôtel Provençal, qu’il considère comme le cerveau de la bande de malfaiteurs présumés.
Arrêté, C. Ch, Libano-Sénégalais, passe à table et explique le modus operandi impliquant le patron de l’état-civil.
Il déclare qu’il encaissait une somme de 300 000 FCfa pour chaque deal effectué en complicité avec des membres du centre d’état-civil de Pout.
Cueilli, le patron dudit centre avoue sa responsabilité, révélant en outre, qu’il percevait entre 20 à 25 000 FCfa pour chaque faux document établi et ce, depuis déjà 4 ans.
Ils ont tous été présentés au procureur de la République, alors que d’autres membres de cette mafia, dont un Sénégalais et un Libano-Sénégalais, sont activement recherchés.
D'après le récit de "Rewmi", tout est parti de l’arrestation d’un Libano-Sénégalais, le 26 mai dernier, à Rosso-Sénégal. Au poste de contrôle, le passager présente une carte nationale d’identité sénégalaise.
Suspecté par la Police de l'Air et des Frontières, il a été soumis à la fouille. C’est ainsi que des extraits de naissance et un passeport sénégalais à son nom, sont découverts dans sa valise.
Pressé de question, il craque, livre les détails de la mafia et balance H. Ch, patron de l’hôtel Provençal, qu’il considère comme le cerveau de la bande de malfaiteurs présumés.
Arrêté, C. Ch, Libano-Sénégalais, passe à table et explique le modus operandi impliquant le patron de l’état-civil.
Il déclare qu’il encaissait une somme de 300 000 FCfa pour chaque deal effectué en complicité avec des membres du centre d’état-civil de Pout.
Cueilli, le patron dudit centre avoue sa responsabilité, révélant en outre, qu’il percevait entre 20 à 25 000 FCfa pour chaque faux document établi et ce, depuis déjà 4 ans.
Ils ont tous été présentés au procureur de la République, alors que d’autres membres de cette mafia, dont un Sénégalais et un Libano-Sénégalais, sont activement recherchés.