La quarantaine bien sonnée, G. Demba est tombé dans les filets des éléments de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis), dans la nuit du 26 au 27 décembre 2018. Selon "Rewmi", c’est au moment où il attendait un client du nom de Cheikh Diop au rond-point Case Bi, qu’il a été interpellé avec 16,5 kg de chanvre indien.
Auditionné, l’aide-infirmier confesse qu’il s’adonnait au culture et au trafic de l’herbe qui tue depuis 2017. « J’ai quitté Kafountine après avoir reçu une commande de 50 kg de chanvre indien. J’avais demandé à Cheikh Diop de m’attendre au Poste Thiaroye, avant de changer l’heure et le lieu de notre rendez-vous. Je devais lui livrer d’abord une quantité de 16,5 kg », a-t-il avoué. Il renseigne qu’il travaillait à l’infirmerie du camp militaire de Yeumbeul jusqu’en 2004. « Après avoir quitté l’armée, j’ai décroché un emploi dans une case de santé. Mais, j’ai été licencié et me suis lancé dans ce commerce illicite », a-t-il ajouté.
Attrait hier, devant la Chambre criminelle de Dakar pour culture et trafic de chanvre indien, le père de famille de quatre enfants retourne sa veste. A l’en croire, les policiers ont saisi le produit illicite dans le véhicule à bord duquel il était. « Le propriétaire était assis à côté de moi, mais il a pris la fuite. Ces derniers m’ont administré des coups de pilon pour me pousser à reconnaître les faits », s’est-il défendu. « Je me rendais à la Cité Soprim chez ma sœur malade. Je devais l’acheminer à Kafountine, car elle vivait avec sa fille de deux ans. Son mari avait voyagé », a-t-il avancé.
D’après l’avocat de la société, la personne qui était dénoncée, correspondait à la description physique de l’accusé. « Il avait mis du poisson séché sur la drogue. C’est une personne de mauvaise foi », a martelé le parquetier, avant de solliciter dix ans de réclusion criminelle. La défense a plaidé l’acquittement, à titre principal et une application bienveillante de la loi, à titre subsidiaire.
Le juge a fixé son délibéré au 16 février prochain. Rapporte Vipeoples .
Auditionné, l’aide-infirmier confesse qu’il s’adonnait au culture et au trafic de l’herbe qui tue depuis 2017. « J’ai quitté Kafountine après avoir reçu une commande de 50 kg de chanvre indien. J’avais demandé à Cheikh Diop de m’attendre au Poste Thiaroye, avant de changer l’heure et le lieu de notre rendez-vous. Je devais lui livrer d’abord une quantité de 16,5 kg », a-t-il avoué. Il renseigne qu’il travaillait à l’infirmerie du camp militaire de Yeumbeul jusqu’en 2004. « Après avoir quitté l’armée, j’ai décroché un emploi dans une case de santé. Mais, j’ai été licencié et me suis lancé dans ce commerce illicite », a-t-il ajouté.
Attrait hier, devant la Chambre criminelle de Dakar pour culture et trafic de chanvre indien, le père de famille de quatre enfants retourne sa veste. A l’en croire, les policiers ont saisi le produit illicite dans le véhicule à bord duquel il était. « Le propriétaire était assis à côté de moi, mais il a pris la fuite. Ces derniers m’ont administré des coups de pilon pour me pousser à reconnaître les faits », s’est-il défendu. « Je me rendais à la Cité Soprim chez ma sœur malade. Je devais l’acheminer à Kafountine, car elle vivait avec sa fille de deux ans. Son mari avait voyagé », a-t-il avancé.
D’après l’avocat de la société, la personne qui était dénoncée, correspondait à la description physique de l’accusé. « Il avait mis du poisson séché sur la drogue. C’est une personne de mauvaise foi », a martelé le parquetier, avant de solliciter dix ans de réclusion criminelle. La défense a plaidé l’acquittement, à titre principal et une application bienveillante de la loi, à titre subsidiaire.
Le juge a fixé son délibéré au 16 février prochain. Rapporte Vipeoples .