Selon les confidences proches de l’enquête et faites au journal Sources A, il y a dans le lot des personnes interpellées, quatre jeunes, membres d’un Comité villageois chargé de traquer les acteurs du trafic illicite de bois et qui ont été élargis de prison, à la veille du massacre de la forêt de Boffa.
Soit quelques semaines après avoir livré une bataille rangée avec des coupeurs de bois, dont le cerveau de la bande a été, dans un premier temps, arrêté puis libéré. Avant que celui-ci ne se fende d’une plainte, qui aura, plus tard, été à l’origine du placement sous mandat de dépôt des membres du Comité villageois. Ils sont suspectés d’avoir pris part au carnage survenu sur les lieux. Outre ces quatre jeunes, d’autres personnes ont été alpaguées par les forces de sécurité et de défense sénégalaise ; alors qu’elles étaient en partance pour la Guinée-Bissau.
Dans la foulée, trois individus supposés être d’anciens militaires de l’Armée bissau-guinéenne ont été, eux aussi, arrêtés. Et selon toujours les informations recueillies par le quotidien Source A auprès de l’enquête, c’est la deuxième fois que ces derniers sont interpellés, dans le cadre de l’affaire pas du tout orthodoxe. Même si l’essentiel des arrestations ont eu lieu aux environs du village de Toubacouta, à 8 Km de Ziguinchor, et que les enquêteurs continuent toujours de mener leurs investigations, il n’en demeure pas moins que les investigations sont orientées, entre autres, autour d’un possible contrat exécuté par une bande de sanguinaires.
Et c’est là que les résultats de l’enquête des forces de sécurité et de défense pourraient se révéler ô combien piquants dans les prochains jours. Au motif de ce que si cette piste s’avérait, ont pourrait assister à des arrestations de personnes issues de milieux insoupçonnés. Soit des politiciens, soit des Messieurs Casamance, soit des membres du Mouvement des forces démocratiques de Casamance, pour ne citer que ceux-là . Car, commente une des sources du journal précité, « depuis bientôt quatre ans, ceux qui se nourrissaient de la rébellion dans cette partie Sud du Sénégal, ne se remplissent plus les poches. Et, certains d’entre eux pourraient être tentés d’avoir payé les auteurs de la tuerie de Boffa, pour se la jouer ensuite indispensables, dans la perspective de la résolution du conflit vieux de plusieurs décennies ».
D’après toujours les informations du journal, le journaliste et observateur du conflit casamançais, René Capian Bassene, a été cueilli, tôt dans la matinée d’hier, par la gendarmerie à son domicile sis à Ziguinchor.
Soit quelques semaines après avoir livré une bataille rangée avec des coupeurs de bois, dont le cerveau de la bande a été, dans un premier temps, arrêté puis libéré. Avant que celui-ci ne se fende d’une plainte, qui aura, plus tard, été à l’origine du placement sous mandat de dépôt des membres du Comité villageois. Ils sont suspectés d’avoir pris part au carnage survenu sur les lieux. Outre ces quatre jeunes, d’autres personnes ont été alpaguées par les forces de sécurité et de défense sénégalaise ; alors qu’elles étaient en partance pour la Guinée-Bissau.
Dans la foulée, trois individus supposés être d’anciens militaires de l’Armée bissau-guinéenne ont été, eux aussi, arrêtés. Et selon toujours les informations recueillies par le quotidien Source A auprès de l’enquête, c’est la deuxième fois que ces derniers sont interpellés, dans le cadre de l’affaire pas du tout orthodoxe. Même si l’essentiel des arrestations ont eu lieu aux environs du village de Toubacouta, à 8 Km de Ziguinchor, et que les enquêteurs continuent toujours de mener leurs investigations, il n’en demeure pas moins que les investigations sont orientées, entre autres, autour d’un possible contrat exécuté par une bande de sanguinaires.
Et c’est là que les résultats de l’enquête des forces de sécurité et de défense pourraient se révéler ô combien piquants dans les prochains jours. Au motif de ce que si cette piste s’avérait, ont pourrait assister à des arrestations de personnes issues de milieux insoupçonnés. Soit des politiciens, soit des Messieurs Casamance, soit des membres du Mouvement des forces démocratiques de Casamance, pour ne citer que ceux-là . Car, commente une des sources du journal précité, « depuis bientôt quatre ans, ceux qui se nourrissaient de la rébellion dans cette partie Sud du Sénégal, ne se remplissent plus les poches. Et, certains d’entre eux pourraient être tentés d’avoir payé les auteurs de la tuerie de Boffa, pour se la jouer ensuite indispensables, dans la perspective de la résolution du conflit vieux de plusieurs décennies ».
D’après toujours les informations du journal, le journaliste et observateur du conflit casamançais, René Capian Bassene, a été cueilli, tôt dans la matinée d’hier, par la gendarmerie à son domicile sis à Ziguinchor.