Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, Monsieur Malick Ndiaye, a procédé hier à la remise des attestations originales de renforcement des capacités aux acteurs du transport. Cette initiative vise à améliorer leurs compétences dans le domaine du transport routier. Le ministre a rappelé que ces attestations, initialement prévues pour 2021, sont le fruit d’un travail acharné. Elles illustrent la volonté des acteurs du secteur de s’approprier les connaissances indispensables à la professionnalisation du sous-secteur routier. «Cette remise répond à une doléance exprimée depuis trois ans. Mieux vaut tard que jamais», a-t-il affirmé, nous dit LeTémoin.
Le ministre a souligné la pertinence de cette formation dans le cadre de l’élaboration d’une politique commune des transports, en particulier dans le transport routier de marchandises. Elle répond à la nécessité de définir des règles communes régissant l’exercice de la profession de transporteur routier, et d’établir un cadre cohérent au sein de l’UEMOA pour structurer ce secteur. Il a également évoqué les nombreux défis auxquels le secteur est confronté : insécurité routière persistante, concurrence déloyale, avancées technologiques rapides et innovations majeures. «Les aspirations croissantes à plus de sécurité, de confort, de multi-modalité, d’interopérabilité, et l’adaptation au changement climatique se font de plus en plus pressantes», a-t-il précisé. Cette formation, selon le ministre, s’inscrit dans la dynamique des États généraux des Transports Publics, qui se tiendront la semaine prochaine, du 21 au 25 octobre.
Le ministre a souligné la pertinence de cette formation dans le cadre de l’élaboration d’une politique commune des transports, en particulier dans le transport routier de marchandises. Elle répond à la nécessité de définir des règles communes régissant l’exercice de la profession de transporteur routier, et d’établir un cadre cohérent au sein de l’UEMOA pour structurer ce secteur. Il a également évoqué les nombreux défis auxquels le secteur est confronté : insécurité routière persistante, concurrence déloyale, avancées technologiques rapides et innovations majeures. «Les aspirations croissantes à plus de sécurité, de confort, de multi-modalité, d’interopérabilité, et l’adaptation au changement climatique se font de plus en plus pressantes», a-t-il précisé. Cette formation, selon le ministre, s’inscrit dans la dynamique des États généraux des Transports Publics, qui se tiendront la semaine prochaine, du 21 au 25 octobre.