Le manager de Viviane Chidid, Djidiack Diouf et ses coaccusés Mamadou dit Petit Mbaye Diouf, Abdoulaye Diouf Kébé et la dame Coudy Kane, seront fixés sur leur sort ce mercredi 10 mai 2023.
Ils étaient jugés le 26 avril dernier devant le tribunal correctionnel de Dakar, pour association de malfaiteurs, faux et usage de faux dans un document administratif, fraude portant sur des titres de voyage, faux et usage de faux en écritures publiques authentiques, en écritures privées de banque et de commerce et dans des documents administratifs. Faits que ces prévenus ont nié à la barre, rappelle "Les Echos", lit-on dans "Senenews".
Le procureur avait requis 2 ans de prison, dont 1 ferme pour les autres. Mais pour ce qui est de Djidiack et de la dame Coudy Kane qui travaillait à l’ambassade d’Italie, il s’était rapporté à la sagesse du tribunal. Ces prévenus ont été tous interpellés en 2020, suite à une information qui faisait état d’un réseau de trafic de visas présumés faux.
Ainsi, les éléments enquêteurs au cours des investigations, ont saisi des passeports, des livrets de famille, des certificats de mariage, des relevés bancaires, des registres de commerce, des polices d’assurance, des certificats de travail, etc.
Ils étaient jugés le 26 avril dernier devant le tribunal correctionnel de Dakar, pour association de malfaiteurs, faux et usage de faux dans un document administratif, fraude portant sur des titres de voyage, faux et usage de faux en écritures publiques authentiques, en écritures privées de banque et de commerce et dans des documents administratifs. Faits que ces prévenus ont nié à la barre, rappelle "Les Echos", lit-on dans "Senenews".
Le procureur avait requis 2 ans de prison, dont 1 ferme pour les autres. Mais pour ce qui est de Djidiack et de la dame Coudy Kane qui travaillait à l’ambassade d’Italie, il s’était rapporté à la sagesse du tribunal. Ces prévenus ont été tous interpellés en 2020, suite à une information qui faisait état d’un réseau de trafic de visas présumés faux.
Ainsi, les éléments enquêteurs au cours des investigations, ont saisi des passeports, des livrets de famille, des certificats de mariage, des relevés bancaires, des registres de commerce, des polices d’assurance, des certificats de travail, etc.