Le député Guy Marius Sagna a déclaré avoir été agressé et blessé ce dimanche, au Togo, affirmant : « Les nervis m’ont frappé comme un ballon de football ». Il participait à une rencontre citoyenne, dans le cadre de sa mission parlementaire en marge de la session du parlement de la CEDEAO.
Selon lui, des hommes qu’il décrit comme des nervis, ont interrompu son discours, utilisant des chaises pour les frapper violemment. « Ils nous ont bastonnés, nous donnant des coups de poing comme s’ils jouaient avec des ballons de football. Ils n’ont même pas épargné la députée togolaise honorable Kafoué, qui pourrait être leur mère », a-t-il raconté,, après son hospitalisation.
Guy Marius Sagna accuse le régime du président Faure Gnassingbé d’avoir orchestré cette attaque, malgré son immunité parlementaire.
« Depuis quand rencontrer son représentant au parlement de la CEDEAO, est-il un crime ? Des nervis, payés par le régime de Faure Eyadema, ont agressé des Togolais et des députés. C’est gravissime. Si un député de la CEDEAO, bénéficiant de ses deux immunités, peut être attaqué, qu’en est-il des citoyens togolais ? », s’est-il indigné.
Pour lui, cet incident révèle que tous les Togolais vivent sous une menace constante : « Si un parlementaire en session peut être bastonné, alors tout le peuple togolais est en danger ».
Selon lui, des hommes qu’il décrit comme des nervis, ont interrompu son discours, utilisant des chaises pour les frapper violemment. « Ils nous ont bastonnés, nous donnant des coups de poing comme s’ils jouaient avec des ballons de football. Ils n’ont même pas épargné la députée togolaise honorable Kafoué, qui pourrait être leur mère », a-t-il raconté,, après son hospitalisation.
Guy Marius Sagna accuse le régime du président Faure Gnassingbé d’avoir orchestré cette attaque, malgré son immunité parlementaire.
« Depuis quand rencontrer son représentant au parlement de la CEDEAO, est-il un crime ? Des nervis, payés par le régime de Faure Eyadema, ont agressé des Togolais et des députés. C’est gravissime. Si un député de la CEDEAO, bénéficiant de ses deux immunités, peut être attaqué, qu’en est-il des citoyens togolais ? », s’est-il indigné.
Pour lui, cet incident révèle que tous les Togolais vivent sous une menace constante : « Si un parlementaire en session peut être bastonné, alors tout le peuple togolais est en danger ».