Les jours se succèdent et se ressemblent pour G. Diop, qui séjourne en prison pour tentative de viol sur mineure de 15 ans. Attrait devant le tribunal de Dakar, il encourt une peine de cinq ans ferme. D'aprés le récit de "Rewmi", D. Guèye, 15 ans, aurait subi une tentative d'agression sexuelle courant 2021.
Un secret qu'elle a gardé durant plusieurs mois, avant de le révéler à son professeur de mathématiques, qui évoquait souvent la sexualité et ses enjeux pendant ses heures de cours. Si on s'en tient au récit de la jeune fille, c'est son voisin, G. Diop qui avait jeté son dévolu sur elle, après avoir tenté de l'aborder, en vain. Et la nuit des faits, il l'avait entraînée dans une ruelle pour une partie de plaisir charnel. Pour s'en sortir, elle a hurlé, ameutant ainsi les voisins. G. Diop a alors pris la tangente. Des confidences que l'enseignant a portées à la connaissance d'une surveillante de l'établissement, qui a immédiatement avisé la mère de l'adolescente, A. Diop.
Décidée à en découdre avec le bourreau de sa fille, celle-ci dépose une plainte. Lors de son audition, elle a fait savoir que la victime présumée n'était pas rentrée à l'heure habituelle, la nuit des faits. Voyant qu'il faisait tard, elle est partie à sa recherche. Au bout de quelques minutes, elle l'a vue sortir d'une ruelle et lui a posé des questions sur les raisons de son absence. Mais, D. Guèye avait raconté une histoire cousue de fil blanc à sa maman. Une fois à la maison, cette dernière l'a déshabillée, puis examinée ses partie intimes. Mais, elle n'avait constaté rien de troublant. Le professeur a, pour sa part, laissé entendre que la potache se mettait en colère à chaque fois qu'il parlait de sexualité. C'est ainsi qu'un jour, elle lui a narré sa mésaventure. Les enquêteurs n'ont pas tardé à convoquer le mis en cause qui a clamé son innocence.
Néanmoins, G. Diop, la vingtaine, a été attrait devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, pour détournement et corruption de mineure où il a réitéré ses dénégations. Mais, l'audience s'est tenue à huis-clos.
À la suite du conseil de la partie civile qui a réclamé le franc symbolique, la représentante du parquet a requis cinq ans ferme. La défense a plaidé la relaxe. Le juge rendra sa décision le 9 juin prochain.
Un secret qu'elle a gardé durant plusieurs mois, avant de le révéler à son professeur de mathématiques, qui évoquait souvent la sexualité et ses enjeux pendant ses heures de cours. Si on s'en tient au récit de la jeune fille, c'est son voisin, G. Diop qui avait jeté son dévolu sur elle, après avoir tenté de l'aborder, en vain. Et la nuit des faits, il l'avait entraînée dans une ruelle pour une partie de plaisir charnel. Pour s'en sortir, elle a hurlé, ameutant ainsi les voisins. G. Diop a alors pris la tangente. Des confidences que l'enseignant a portées à la connaissance d'une surveillante de l'établissement, qui a immédiatement avisé la mère de l'adolescente, A. Diop.
Décidée à en découdre avec le bourreau de sa fille, celle-ci dépose une plainte. Lors de son audition, elle a fait savoir que la victime présumée n'était pas rentrée à l'heure habituelle, la nuit des faits. Voyant qu'il faisait tard, elle est partie à sa recherche. Au bout de quelques minutes, elle l'a vue sortir d'une ruelle et lui a posé des questions sur les raisons de son absence. Mais, D. Guèye avait raconté une histoire cousue de fil blanc à sa maman. Une fois à la maison, cette dernière l'a déshabillée, puis examinée ses partie intimes. Mais, elle n'avait constaté rien de troublant. Le professeur a, pour sa part, laissé entendre que la potache se mettait en colère à chaque fois qu'il parlait de sexualité. C'est ainsi qu'un jour, elle lui a narré sa mésaventure. Les enquêteurs n'ont pas tardé à convoquer le mis en cause qui a clamé son innocence.
Néanmoins, G. Diop, la vingtaine, a été attrait devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, pour détournement et corruption de mineure où il a réitéré ses dénégations. Mais, l'audience s'est tenue à huis-clos.
À la suite du conseil de la partie civile qui a réclamé le franc symbolique, la représentante du parquet a requis cinq ans ferme. La défense a plaidé la relaxe. Le juge rendra sa décision le 9 juin prochain.