Le célèbre bar Café des Arts, sis à Thiès, a été le théâtre d’une scène violente. Une prostituée y a frôlé la mort au cours d’une altercation avec son client.
Tout est parti lorsque la fille de joie a refusé d’accorder une seconde passe à son client. Ce que le pêcheur A. Diagne ne voulait pas entendre. Face au refus de la belle-de-nuit, l’homme âgé de 25 ans lui a assené des coups de couteau. Mais il s’est heurté à la justice divine lors de sa cavale. A. Diagne s’est, en effet, grièvement blessé, selon des sources de Seneweb proches du parquet.
Informés des faits, les policiers du poste de Nguinth ont rappliqué sur les lieux pour procéder aux constats d’usage. A. Diagne a été interné sous surveillance policière à l’hôpital régional de Thiès, durant une semaine, avant d’être embarqué au poste de Nguinth par les hommes du lieutenant Ibrahima Guèye pour les besoins de l’enquête.
Après les soins reçus, la prostituée K. Diakhaté s’est présentée avec un certificat médical attestant une incapacité temporaire de travail de sept jours. En effet, la plaignante a été blessée au niveau des cuisses, des mains et du bras gauche, d’après le rapport médical versé dans le dossier.
Convoqué à la police, le gérant du bar et directeur de l’auberge Café des Arts de Thiès a été finalement placé en garde à vue.
Et pour cause ! Il ressort de l’enquête que Gabriel Gane Diop exploite une auberge et un bar sans autorisation administrative. Mais le patron de ce célèbre bar n’est pas tombé seul. Il a confié avoir acquis la licence du bar à l’enseigne Kalom Work Shop et non Café des Arts sous forme de location-gérance par l’entremise du nommé Elimane Malick Mbaye, un entrepreneur culturel.
Convoqué et entendu sur procès-verbal, le sieur Mbaye s’est mis à table avant d’être placé en garde à vue.
A l’issue de l’enquête diligentée par les policiers du poste de Nguinth, le pêcheur A. Diagne a été présenté au procureur pour coups et blessures volontaires au préjudice de la prostituée K. Diakhaté. Également, Gabriel Gane Diop et Elimane Malick Mbaye ont été aussi déférés pour exploitation de chambres meublées sans autorisation administrative.
Tout est parti lorsque la fille de joie a refusé d’accorder une seconde passe à son client. Ce que le pêcheur A. Diagne ne voulait pas entendre. Face au refus de la belle-de-nuit, l’homme âgé de 25 ans lui a assené des coups de couteau. Mais il s’est heurté à la justice divine lors de sa cavale. A. Diagne s’est, en effet, grièvement blessé, selon des sources de Seneweb proches du parquet.
Informés des faits, les policiers du poste de Nguinth ont rappliqué sur les lieux pour procéder aux constats d’usage. A. Diagne a été interné sous surveillance policière à l’hôpital régional de Thiès, durant une semaine, avant d’être embarqué au poste de Nguinth par les hommes du lieutenant Ibrahima Guèye pour les besoins de l’enquête.
Après les soins reçus, la prostituée K. Diakhaté s’est présentée avec un certificat médical attestant une incapacité temporaire de travail de sept jours. En effet, la plaignante a été blessée au niveau des cuisses, des mains et du bras gauche, d’après le rapport médical versé dans le dossier.
Convoqué à la police, le gérant du bar et directeur de l’auberge Café des Arts de Thiès a été finalement placé en garde à vue.
Et pour cause ! Il ressort de l’enquête que Gabriel Gane Diop exploite une auberge et un bar sans autorisation administrative. Mais le patron de ce célèbre bar n’est pas tombé seul. Il a confié avoir acquis la licence du bar à l’enseigne Kalom Work Shop et non Café des Arts sous forme de location-gérance par l’entremise du nommé Elimane Malick Mbaye, un entrepreneur culturel.
Convoqué et entendu sur procès-verbal, le sieur Mbaye s’est mis à table avant d’être placé en garde à vue.
A l’issue de l’enquête diligentée par les policiers du poste de Nguinth, le pêcheur A. Diagne a été présenté au procureur pour coups et blessures volontaires au préjudice de la prostituée K. Diakhaté. Également, Gabriel Gane Diop et Elimane Malick Mbaye ont été aussi déférés pour exploitation de chambres meublées sans autorisation administrative.