Le député Ousmane Sonko, par ailleurs président du parti Les Patriotes (Pastef), a décidé d’envoyer une sommation interpellative à Bouba Ndour et Birima, respectivement Directeur des programmes et chroniqueur à la Tfm.
« J’ai demandé à mes avocats de servir, dès lundi, une sommation interpellative à monsieur Bouba Ndour et à l’énergumène beige-marron au nom de Birima qui lui sert d’acolyte », écrit-il dans un lettre parvenue à Seneweb.
« Ils auront à répondre de l’utilisation des termes de « deal » et de « dessous de contrat » proférés à mon encontre. Toutes les suites judiciaires seront tirées de cette affaire car on ne peut permettre à n’importe quel illuminé, abrité derrière un micro, de diffamer, calomnier, mentir et ternir l’image des gens », ajoute-t-il.
« Profitant d’une émission (Jakaarlo du vendredi dernier à la Tfm) sur un dossier de notoriété publique géré par le ministre des Finances, la Dgid et le syndicat des Impôts et Domaines, dont les animateur, ni l’invité ne connaissent rien, ces derniers, à l’évocation de mon nom, s’en sont pris à coeur joie, attentant à mon honneur et à mon image », s’offusque Ousmane Sonko dans sa lettre.
« J’ai demandé à mes avocats de servir, dès lundi, une sommation interpellative à monsieur Bouba Ndour et à l’énergumène beige-marron au nom de Birima qui lui sert d’acolyte », écrit-il dans un lettre parvenue à Seneweb.
« Ils auront à répondre de l’utilisation des termes de « deal » et de « dessous de contrat » proférés à mon encontre. Toutes les suites judiciaires seront tirées de cette affaire car on ne peut permettre à n’importe quel illuminé, abrité derrière un micro, de diffamer, calomnier, mentir et ternir l’image des gens », ajoute-t-il.
« Profitant d’une émission (Jakaarlo du vendredi dernier à la Tfm) sur un dossier de notoriété publique géré par le ministre des Finances, la Dgid et le syndicat des Impôts et Domaines, dont les animateur, ni l’invité ne connaissent rien, ces derniers, à l’évocation de mon nom, s’en sont pris à coeur joie, attentant à mon honneur et à mon image », s’offusque Ousmane Sonko dans sa lettre.