Revenant sur le film des faits, Khady Dione, la jeune commerçante raconte que c’est le prévenu qui lui a demandé de le rejoindre au magasin de son ami, Mohamed Fall, sous prétexte que ce dernier avait de nouvelles marchandises qui pourraient l’intéresser.
Mais une fois sur les lieux, le prévenu a profité de l’absence du propriétaire de la boutique en l’occurrence, Mohamad Fall, parti à la pharmacie pour avoir sans son consentement, une partie de jambes en l’air avec elle. « Je me suis même débattue avec lui. Et n’eut été l’intervention de son ami qui revenait de la pharmacie, j'aurais été violée. Parce qu’il a réussi à enlever mon pantalon en m’étranglant. J’en suis même sortie avec de légères blessures au bras et au cou », précise-t-elle, à la barre.
Interpellé, le prévenu nie en bloc les propos de la partie civile. Même si, à l’enquête préliminaire, il a tenté de justifier son acte délictuel par son état d’ébriété au moment des faits. D’après lui, il a juste caressé la partie civile, accusée d’être sa petite amie. Et que c’est la énième fois qu’ils entretenaient de tels rapports.
Mais d’après la partie civile, c’est juste une relation amicale qui le lie avec le prévenu. Car elle a eu à travailler chez lui, comme femme de ménage.
Mohamed Fall, entendu comme témoin a confirmé, les allégations de la partie civile. Selon lui, son ami n’était pas ivre, même s’il a eu à consommer de l’alcool avant les faits. Il voulait même en découdre avec lui, lorsqu’il est intervenu pour le séparer de la plaignante. Et sur ce, il a appelé la police, puisque les faits se sont déroulés dans sa boutique.
Le maître des poursuites a requis un an de prison ferme contre le prévenu pour tentative de viol. D’après lui, il n’y a pas certes eu de pénétration sexuelle. Mais, il y a eu commencement d’exécution, interrompue par un élément extérieur.
L’avocat de la défense a plaidé pour une application bienveillante de la loi. Puisque, dit-il, le mis en cause avait déclaré à la police qu’il était ivre.
Le tribunal a requis six mois de prison ferme contre le prévenu pour tentative de viol.
Mais une fois sur les lieux, le prévenu a profité de l’absence du propriétaire de la boutique en l’occurrence, Mohamad Fall, parti à la pharmacie pour avoir sans son consentement, une partie de jambes en l’air avec elle. « Je me suis même débattue avec lui. Et n’eut été l’intervention de son ami qui revenait de la pharmacie, j'aurais été violée. Parce qu’il a réussi à enlever mon pantalon en m’étranglant. J’en suis même sortie avec de légères blessures au bras et au cou », précise-t-elle, à la barre.
Interpellé, le prévenu nie en bloc les propos de la partie civile. Même si, à l’enquête préliminaire, il a tenté de justifier son acte délictuel par son état d’ébriété au moment des faits. D’après lui, il a juste caressé la partie civile, accusée d’être sa petite amie. Et que c’est la énième fois qu’ils entretenaient de tels rapports.
Mais d’après la partie civile, c’est juste une relation amicale qui le lie avec le prévenu. Car elle a eu à travailler chez lui, comme femme de ménage.
Mohamed Fall, entendu comme témoin a confirmé, les allégations de la partie civile. Selon lui, son ami n’était pas ivre, même s’il a eu à consommer de l’alcool avant les faits. Il voulait même en découdre avec lui, lorsqu’il est intervenu pour le séparer de la plaignante. Et sur ce, il a appelé la police, puisque les faits se sont déroulés dans sa boutique.
Le maître des poursuites a requis un an de prison ferme contre le prévenu pour tentative de viol. D’après lui, il n’y a pas certes eu de pénétration sexuelle. Mais, il y a eu commencement d’exécution, interrompue par un élément extérieur.
L’avocat de la défense a plaidé pour une application bienveillante de la loi. Puisque, dit-il, le mis en cause avait déclaré à la police qu’il était ivre.
Le tribunal a requis six mois de prison ferme contre le prévenu pour tentative de viol.
