Ces projets qui ont pour noms, externalisation, mutualisation, délocalisation, transformation ne sont motivés que par une recherche effrénée de profits au détriment de la responsabilité sociale et de la souveraineté nationale", a dénoncé, ce samedi à Dakar, Pape Tamsir Seck, Secrétaire général du Snts, tout en stipulant que les opérateurs dans leurs cahiers de charges respectifs avaient comme objet général de la concession de la licence d’exploitation : "Construire, installer, entretenir, faire fonctionner, exploiter des réseaux de télécommunications ouverts au public et fournir des services de télécommunications".
Selon lui, cette politique d’externalisation aura comme conséquence la perte d’emploi. "Les emplois sont de plus en plus délocalisés, notre pays risque de perdre le savoir-faire dans ce domaine de pointe très porteur des télécommunications', a indiqué Pape Tamsir Seck. Avant de lancer un appel à l’Etat du Sénégal à prendre ses responsabilités devant ces multinationales qui sont à la recherche effrénée du profit. D’ailleurs, dit-il, "pour ce qui est de Tigo, la politique d’externalisation pratiquée par ce dernier dans le secteur des télécommunications a eu beaucoup d’effets négatifs notamment sur l’emploi dans les pays où Ericsson a eu à expérimenter cela". Pour, M. Seck, "Ericsson a l’habitude de procéder à des licenciement pour motif économique 6 mois après son arrivée, en supprimant des emplois pour les délocaliser vers d’autres pays avec un meilleur coût de la main d’œuvre".
"Avec le recours abusif aux contrats à durée déterminée (Cdd) et personnel, toute politique de création et de promotion de l’emploi des jeunes est vouée à l’échec. L’évidence est que la perte d’emploi entraîne une détérioration du tissu social, inutile dès lors, de vous faire un exposé sur ses conséquences", a rappelé M. Seck, tout en ajoutant, qu’Ericson ne peut pas offrir aux employés Tigo qui doivent rejoindre leur service un contrat Cdi par parce qu’ayant un contrat de 5 ans avec Tigo. Toutefois, avec le refus des agents de Tigo de rejoindre le groupe Ericson, « Tigo est dans l’optique de faire un licenciement pour motif économique parce qu’ayant cela comme seule alternative pour arriver à leur fin" a informé, M. Seck.
A ce rythme, la fracture numérique n’a aucune chance de se résorber vis-à -vis des pays du Nord, lorsqu’on a des opérateurs qui délaissent leur cœur de cible pour se lancer dans une activité bancaire où ils ont plus de moyens.
Selon lui, cette politique d’externalisation aura comme conséquence la perte d’emploi. "Les emplois sont de plus en plus délocalisés, notre pays risque de perdre le savoir-faire dans ce domaine de pointe très porteur des télécommunications', a indiqué Pape Tamsir Seck. Avant de lancer un appel à l’Etat du Sénégal à prendre ses responsabilités devant ces multinationales qui sont à la recherche effrénée du profit. D’ailleurs, dit-il, "pour ce qui est de Tigo, la politique d’externalisation pratiquée par ce dernier dans le secteur des télécommunications a eu beaucoup d’effets négatifs notamment sur l’emploi dans les pays où Ericsson a eu à expérimenter cela". Pour, M. Seck, "Ericsson a l’habitude de procéder à des licenciement pour motif économique 6 mois après son arrivée, en supprimant des emplois pour les délocaliser vers d’autres pays avec un meilleur coût de la main d’œuvre".
"Avec le recours abusif aux contrats à durée déterminée (Cdd) et personnel, toute politique de création et de promotion de l’emploi des jeunes est vouée à l’échec. L’évidence est que la perte d’emploi entraîne une détérioration du tissu social, inutile dès lors, de vous faire un exposé sur ses conséquences", a rappelé M. Seck, tout en ajoutant, qu’Ericson ne peut pas offrir aux employés Tigo qui doivent rejoindre leur service un contrat Cdi par parce qu’ayant un contrat de 5 ans avec Tigo. Toutefois, avec le refus des agents de Tigo de rejoindre le groupe Ericson, « Tigo est dans l’optique de faire un licenciement pour motif économique parce qu’ayant cela comme seule alternative pour arriver à leur fin" a informé, M. Seck.
A ce rythme, la fracture numérique n’a aucune chance de se résorber vis-à -vis des pays du Nord, lorsqu’on a des opérateurs qui délaissent leur cœur de cible pour se lancer dans une activité bancaire où ils ont plus de moyens.