La Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) trouve «ridicule» l’autoglorification du pouvoir après la victoire du Oui au référendum du 20 mars dernier, informe Le Quotidien. Les cadres du Pds ayant constaté un «fort et inquiétant» taux d’abstention, invitent l’opposition à «étudier sereinement» les conditions de mise à profit de cette «importante réserve électorale en perspective des échéances futures». La Fncl dénonce l’hypothèque faite sur le calendrier républicain par le président de la République pour fixer «seul et par surprise» la date du référendum et exhorte à la «vigilance pour le respect de l’agenda électoral» et les «nécessaires concertations» autour du processus électoral en perspective des Législatives de 2017 et de la Présidentielle de 2019.
«La démarche solitaire et préméditée» du Président Sall, «viole le caractère jusqu’ici consensuel qui fonde et garantit la solidarité de notre système électoral» disent les cadres libéraux qui assimilent cette «rupture de la pratique politique acquise depuis Senghor, améliorée sous Diouf et consolidée sous Wade, en une véritable régression démocratique ». Selon les cadres libéraux, le référendum a été «sciemment vidé de sa substance», par Macky Sall qui n’a pas respecté sa promesse de réduire son mandat. Le chef de l’Etat a ainsi soulignent-ils, «dévié des principes essentiels» énoncés par les Assises de l’opposition, ainsi que des conclusions de la Cnri, pour ne porter que sur des points «surtout sources de confusions absolues, tantôt porteuses de germes d’inquiétudes sociales troublantes».
«La démarche solitaire et préméditée» du Président Sall, «viole le caractère jusqu’ici consensuel qui fonde et garantit la solidarité de notre système électoral» disent les cadres libéraux qui assimilent cette «rupture de la pratique politique acquise depuis Senghor, améliorée sous Diouf et consolidée sous Wade, en une véritable régression démocratique ». Selon les cadres libéraux, le référendum a été «sciemment vidé de sa substance», par Macky Sall qui n’a pas respecté sa promesse de réduire son mandat. Le chef de l’Etat a ainsi soulignent-ils, «dévié des principes essentiels» énoncés par les Assises de l’opposition, ainsi que des conclusions de la Cnri, pour ne porter que sur des points «surtout sources de confusions absolues, tantôt porteuses de germes d’inquiétudes sociales troublantes».