Décidément les décideurs ont encore beaucoup à faire pour éradiquer la vente de yamba et des drogues d’une manière générale. En effet les nombreuses politiques initiées à l’encontre de la vente et de la consommation de drogue ne devront donner les résultats escomptés que si des mesures sont prises pour contrecarrer la nouvelle stratégie des trafiquants.
En effet depuis un bon bout de temps, il est plus difficile pour les policiers d’arrêter, la main dans le sac, des dealers. Pourtant les dealers ne sont en repos encore moins en congé. Ils ont tout simplement adopté une nouvelle stratégie pour faire écouler leurs marchandises et amoindrir les risques en même temps. Et cette situation a fini d’indisposer les acteurs de la justice qui, soumis à l’obligation d’application stricte de la loi, sont presque impuissants face au phénomène.
Une situation compliquée pour les juges qui rencontrent d’énormes difficultés pour juger ces «El chapo» sénégalais pour le délit d’offre ou cession de chanvre indien. En effet en se débrouillant pour ne pas être, quelle que soit la situation, prise en flagrant délit de vente de drogue, les trafiquants compliquent leur jugement. Dans les tribunaux, beaucoup échappent en effet chaque jour à la condamnation qui doit coller à leur délit, faute de preuve.
Au tribunal des flagrants délits de Dakar, un procureur de la République a expliqué que les dealers enterrent leur produit dans le sol et c’est à l’acheteur, après avoir payé, d’aller déterrer le produit pour se ravitailler. Et cette nouvelle stratégie permet aux trafiquants de drogue de s’échapper à la justice malgré la gravité de leurs fautes.
En effet depuis un bon bout de temps, il est plus difficile pour les policiers d’arrêter, la main dans le sac, des dealers. Pourtant les dealers ne sont en repos encore moins en congé. Ils ont tout simplement adopté une nouvelle stratégie pour faire écouler leurs marchandises et amoindrir les risques en même temps. Et cette situation a fini d’indisposer les acteurs de la justice qui, soumis à l’obligation d’application stricte de la loi, sont presque impuissants face au phénomène.
Une situation compliquée pour les juges qui rencontrent d’énormes difficultés pour juger ces «El chapo» sénégalais pour le délit d’offre ou cession de chanvre indien. En effet en se débrouillant pour ne pas être, quelle que soit la situation, prise en flagrant délit de vente de drogue, les trafiquants compliquent leur jugement. Dans les tribunaux, beaucoup échappent en effet chaque jour à la condamnation qui doit coller à leur délit, faute de preuve.
Au tribunal des flagrants délits de Dakar, un procureur de la République a expliqué que les dealers enterrent leur produit dans le sol et c’est à l’acheteur, après avoir payé, d’aller déterrer le produit pour se ravitailler. Et cette nouvelle stratégie permet aux trafiquants de drogue de s’échapper à la justice malgré la gravité de leurs fautes.