Dans le jargon commun, on appelle ça une mise au frigo. Ndeye Dimet Ndao en est elle victime chez D-Media ? Tout semble l’indiquer, mais officiellement la direction de la boîte n’est pas claire à ce sujet. Le 21 juillet 2022 NDN voit ses activités de chef d’édition radio et télé gelées sans aucune notification officielle de sa hiérarchie. Cette attitude de la direction aurait pour cause le refus de NDN de retirer la plainte qu’elle a servie à sa collègue, Fatou Abdou Ndiaye.
Cette dernière a tenu des propos désobligeants dans le groupe WhatsApp créé pour la coordination à distance d’une émission, et que NDN a trouvés diffamatoires. L’affaire a atterri au tribunal et enrôlé à la barre du Tribunal correctionnel de Dakar, ce jeudi 20 octobre 2022. En l’absence de la prévenue, le verdict est renvoyé au 17 novembre prochain. NDN réclame 50 millions FCFA pour le préjudice qu’elle estime avoir subi.
Toujours est-il que la posture de la direction de D-Media interpelle. Une sommation interpellative a été servie à la coordonnatrice des rédactions, Evelyne Mandiouba, le 6 octobre dernier, par un huissier pour qu’elle dise si officiellement NDN a été suspendue de ses fonctions de chef d’édition. Ce à quoi elle a répondu : « Non, je n’ai pas pouvoir à suspendre ses activités ». La question est donc de savoir pourquoi NDN qui, depuis le début de ces incidents, fait quotidiennement ses huit heures d’activités n’apparaît plus dans la petite lucarne ?
Cette dernière a tenu des propos désobligeants dans le groupe WhatsApp créé pour la coordination à distance d’une émission, et que NDN a trouvés diffamatoires. L’affaire a atterri au tribunal et enrôlé à la barre du Tribunal correctionnel de Dakar, ce jeudi 20 octobre 2022. En l’absence de la prévenue, le verdict est renvoyé au 17 novembre prochain. NDN réclame 50 millions FCFA pour le préjudice qu’elle estime avoir subi.
Toujours est-il que la posture de la direction de D-Media interpelle. Une sommation interpellative a été servie à la coordonnatrice des rédactions, Evelyne Mandiouba, le 6 octobre dernier, par un huissier pour qu’elle dise si officiellement NDN a été suspendue de ses fonctions de chef d’édition. Ce à quoi elle a répondu : « Non, je n’ai pas pouvoir à suspendre ses activités ». La question est donc de savoir pourquoi NDN qui, depuis le début de ces incidents, fait quotidiennement ses huit heures d’activités n’apparaît plus dans la petite lucarne ?