En partenariat avec des organisations dont l'Ong 3D, la Raddho, l’Ondh, l’Urac, l’Ajed, l’Osidea, le réseau Siggil Jiggen, le forum du justiciable et Handicap formEduc, le COSCE, une plateforme électorale qui s'active dans l’observation des élections au Sénégal pendant et après le scrutin de ce dimanche 23 janvier, a rendu publiques ses observations.
En effet, dans les 72 % des départements, des campagnes de sensibilisation ou de mobilisation des électeurs ont eu lieu. Les observateurs ont suivi en moyenne 34 rassemblements de campagne qui se sont déroulés de manière apaisée, et il n’y avait pas de cas de violence ou d’intimidation contre un candidat, une équipe de campagne d’un candidat, un électeur, un agent électoral ou un journaliste.
Dans 91% des départements, les autorisations pour l’usage des espaces publics pour la campagne d’un candidat ont été systématiquement approuvées. Cependant,le collectif précise que dans 9% des départements, les observateurs ont rapporté des cas de refus de cette autorisation. Les cas d’utilisation de véhicules de l’Etat pour la campagne de l’un des candidats ont été observés dans 35% des départements.
Selon la mission d’observation, quelques cas de violence ont émaillé la campagne électorale et ont engendré des victimes innocentes. Toutefois, elle signale aussi dans 28% des départements, des propos incendiaires ou incitant à la violence ou à la haine.
Cependant, le Cosce a fait d’autres observations le jour du scrutin, lors de l’ouverture des bureaux de vote.
‘’ S’agissant de l’ouverture des bureaux de vote, la mission a fait les constatations suivantes, à partir des données remontées par les observateurs fixes. Tous les observateurs de la mission ont été autorisés à accéder aux bureaux. 93% des bureaux de vote ont été clairement identifiés avec leur numéro affiché à l’entrée, 83% des bureaux visités ont ouvert avant 8H 30 dont 47 % à l’heure ; En revanche 15 % des bureaux de vote ont ouvert après 8h30’’, a fait savoir la dite mission.
Après le vote, pour passer à la clôture et au dépouillement, le collectif de la Société civile et ses co-organisateurs ont constaté que : "dans 55 % des bureaux, le vote s’est terminé entre 18h00 et 18h30 ; dans les 40% des bureaux ouverts, le vote a continué à 18h 30. La présence des électeurs dans les files d’attente à l’heure de fermeture des bureaux de vote a été notée dans 55% des bureaux observés à 18h. Une prolongation de vote a été annoncée dans 58% des bureaux observés."
Les représentants de candidats ont été présents dans 99% des bureaux observés et ont reçu une copie de procès verbal dans 98% des bureaux ouverts. Par ailleurs, les représentants de candidats ont refusé de signer le PV dans 2% des bureaux. A la fin du dépouillement, l’enveloppe destinée à la CDRV (commission départementale de recensement des votes) a été systématiquement scellée et les résultats de vote ont été aussitôt affichés à l’entrée dans 97% des bureaux de votes observés.
Cependant, le Cosce a magnifié le bon déroulement du scrutin de ce 23 janvier, même si quelques incidents ont été notés. Il félicite également les autorités électorales et administratives pour l’organisation matérielle du scrutin en dépit des dysfonctionnements, les listes des candidats, les citoyens, la presse, et les forces de défense et de sécurité.
En effet, dans les 72 % des départements, des campagnes de sensibilisation ou de mobilisation des électeurs ont eu lieu. Les observateurs ont suivi en moyenne 34 rassemblements de campagne qui se sont déroulés de manière apaisée, et il n’y avait pas de cas de violence ou d’intimidation contre un candidat, une équipe de campagne d’un candidat, un électeur, un agent électoral ou un journaliste.
Dans 91% des départements, les autorisations pour l’usage des espaces publics pour la campagne d’un candidat ont été systématiquement approuvées. Cependant,le collectif précise que dans 9% des départements, les observateurs ont rapporté des cas de refus de cette autorisation. Les cas d’utilisation de véhicules de l’Etat pour la campagne de l’un des candidats ont été observés dans 35% des départements.
Selon la mission d’observation, quelques cas de violence ont émaillé la campagne électorale et ont engendré des victimes innocentes. Toutefois, elle signale aussi dans 28% des départements, des propos incendiaires ou incitant à la violence ou à la haine.
Cependant, le Cosce a fait d’autres observations le jour du scrutin, lors de l’ouverture des bureaux de vote.
‘’ S’agissant de l’ouverture des bureaux de vote, la mission a fait les constatations suivantes, à partir des données remontées par les observateurs fixes. Tous les observateurs de la mission ont été autorisés à accéder aux bureaux. 93% des bureaux de vote ont été clairement identifiés avec leur numéro affiché à l’entrée, 83% des bureaux visités ont ouvert avant 8H 30 dont 47 % à l’heure ; En revanche 15 % des bureaux de vote ont ouvert après 8h30’’, a fait savoir la dite mission.
Après le vote, pour passer à la clôture et au dépouillement, le collectif de la Société civile et ses co-organisateurs ont constaté que : "dans 55 % des bureaux, le vote s’est terminé entre 18h00 et 18h30 ; dans les 40% des bureaux ouverts, le vote a continué à 18h 30. La présence des électeurs dans les files d’attente à l’heure de fermeture des bureaux de vote a été notée dans 55% des bureaux observés à 18h. Une prolongation de vote a été annoncée dans 58% des bureaux observés."
Les représentants de candidats ont été présents dans 99% des bureaux observés et ont reçu une copie de procès verbal dans 98% des bureaux ouverts. Par ailleurs, les représentants de candidats ont refusé de signer le PV dans 2% des bureaux. A la fin du dépouillement, l’enveloppe destinée à la CDRV (commission départementale de recensement des votes) a été systématiquement scellée et les résultats de vote ont été aussitôt affichés à l’entrée dans 97% des bureaux de votes observés.
Cependant, le Cosce a magnifié le bon déroulement du scrutin de ce 23 janvier, même si quelques incidents ont été notés. Il félicite également les autorités électorales et administratives pour l’organisation matérielle du scrutin en dépit des dysfonctionnements, les listes des candidats, les citoyens, la presse, et les forces de défense et de sécurité.
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