Me Patrick Kabou a réagi à travers son compte Twitter. « Dans l’affaire concernant les deux sous-officiers, notre silence était de rigueur. Un silence face au choc de la nouvelle, un silence expectatif car, attendant impatiemment que les structures dans lesquelles messieurs Sambou et Badji travaillent, nous parlent », écrit-il. Avant d’ajouter: « Rappeler qu’ils sont des agents de l’Etat faisant un travail stratégique pour la République. Ces structures doivent impérativement nous parler et cela, en dehors des médias comme le veut la procédure. Ce silence ne peut être perturbé par un communiqué du parquet. Monsieur le Procureur de la République, s’il vous plaît, à ce stade de la procédure, laissez-nous parler aux nôtres (gendarmerie, armée). Vous aurez le temps de parler à l’opinion nationale et internationale ».
Me Patrick Kabou n’a pas raté Madiambal Diagne, patron du journal « Le Quotidien », qui a fait le lien entre la disparition des deux militaires et l’affaire Pape Alé Niang. « Surtout qu’un quotidien, des personnes paraissent détenir des informations qui peuvent permettre d’avancer dans ce dossier, avancent des thèses fausses, diffament, blessent, atteignent l’image, la respectabilité et l’honorabilité de ces deux agents de l’Etat », déplore-t-il.
L’avocat de conclure: « Revenant à notre posture d’avocat de la famille, notre silence est humain et compatissant. Il rejoint Fulbert Sambou et Didier Badji. Notre silence est un respect à la famille et aux proches de ces deux agents de l’Etat ».
Me Patrick Kabou n’a pas raté Madiambal Diagne, patron du journal « Le Quotidien », qui a fait le lien entre la disparition des deux militaires et l’affaire Pape Alé Niang. « Surtout qu’un quotidien, des personnes paraissent détenir des informations qui peuvent permettre d’avancer dans ce dossier, avancent des thèses fausses, diffament, blessent, atteignent l’image, la respectabilité et l’honorabilité de ces deux agents de l’Etat », déplore-t-il.
L’avocat de conclure: « Revenant à notre posture d’avocat de la famille, notre silence est humain et compatissant. Il rejoint Fulbert Sambou et Didier Badji. Notre silence est un respect à la famille et aux proches de ces deux agents de l’Etat ».