Papa Massata Diack de nouveau au cœur d’un scandale de corruption. Cette fois, il s’agit de l’attribution des Jeux olympiques 2016 à Rio de Janeiro.
Selon Le Monde, la justice française dispose d‘éléments concrets démontrant que l’attribution des JO à la ville brésilienne a été entachée de procédures illicites. Premier mis en cause dans ce scandale, le fils de Lamine Diack, l’ex-président de l’Association internationale des fédérations d’athlétisme (IAAF) et membre influent du CIO.
Dans ses colonnes, Le Monde relève que Papa Massata Diack a reçu 1,5 million de dollars d’une société appartenant à un richissime homme d’affaires brésilien le 29 septembre 2009, soit trois jours avant l’attribution des Jeux olympiques 2016 à Rio.
Ancien consultant en marketing de l’IAAF, Papa Massata Diack est déjà visé par un mandat d’arrêt international, émis par Interpol en janvier 2016. Il est soupçonné d’avoir orchestré un vaste réseau de dopage dans l’athlétisme russe en échange d’argent.
Un autre membre de l’IAAF, le Namibien Frankie Fredericks est également accusé d’avoir touché 299.300 dollars, le jour du vote le 2 octobre 2009.
La justice française qui a ouvert une enquête depuis décembre 2015 soupçonne “des manœuvres destinées à acheter les votes du membre du CIO lors de la désignation”.
Cette autre affaire de corruption à la tête de l’IAAF vient s’inviter dans la campagne française pour l’attribution des JO 2024 à Paris, la capitale française.
Selon Le Monde, la justice française dispose d‘éléments concrets démontrant que l’attribution des JO à la ville brésilienne a été entachée de procédures illicites. Premier mis en cause dans ce scandale, le fils de Lamine Diack, l’ex-président de l’Association internationale des fédérations d’athlétisme (IAAF) et membre influent du CIO.
Dans ses colonnes, Le Monde relève que Papa Massata Diack a reçu 1,5 million de dollars d’une société appartenant à un richissime homme d’affaires brésilien le 29 septembre 2009, soit trois jours avant l’attribution des Jeux olympiques 2016 à Rio.
Ancien consultant en marketing de l’IAAF, Papa Massata Diack est déjà visé par un mandat d’arrêt international, émis par Interpol en janvier 2016. Il est soupçonné d’avoir orchestré un vaste réseau de dopage dans l’athlétisme russe en échange d’argent.
Un autre membre de l’IAAF, le Namibien Frankie Fredericks est également accusé d’avoir touché 299.300 dollars, le jour du vote le 2 octobre 2009.
La justice française qui a ouvert une enquête depuis décembre 2015 soupçonne “des manœuvres destinées à acheter les votes du membre du CIO lors de la désignation”.
Cette autre affaire de corruption à la tête de l’IAAF vient s’inviter dans la campagne française pour l’attribution des JO 2024 à Paris, la capitale française.