On en sait un peu plus sur les causes de l'incendie qui a ravagé une tour HLM de Londres et qui a coûté la vie à au moins 30 personnes, selon un nouveau bilan. Les experts en sont convaincus, un court-circuit de réfrigérateur au quatrième étage serait à l'origine du drame.
Behailu Kebede, un chauffeur de taxi éthiopien, a aperçu dans la nuit de mardi à mercredi des flammes dans la cuisine de son flat du quatrième étage. Face au danger, il a directement appelé les services de secours et a prévenu ses voisins les plus proches. Par précaution.
"Il était exactement minuit 50 quand il a sonné", se souvient sa voisine Maryann Adam. "Je m'en rappelle très bien parce qu'il m'a réveillée. Il est venu m'avertir qu'il y avait un incendie dans sa cuisine, mais ça n'avait pas l'air très alarmant. J'ai moi-même pu voir les flammes car la porte de son appartement était restée ouverte", poursuit-elle dans la presse britannique.
Nouveau bilan de 30 morts
Ce qui interpelle les enquêteurs, c'est la rapidité avec laquelle le feu s'est propagé dans cet immeuble pourtant rénové en 2016. En l'espace de 15 minutes, les flammes ont atteint le sommet du bâtiment.
Le dernier bilan qui vient d'être communiqué à l'instant fait état de 30 morts. Plusieurs dizaines de personnes sont toujours portées disparues. Ce chiffre pourrait dès lors, encore fortement augmenter dans les prochains jours.
"Il culpabilise"
Selon l'un de ses amis proches, Behailu est complètement anéanti par la tragédie. "Il culpabilise, même s'il n'y peut rien. Il ne cesse de répéter: 'Il y a tant de victimes et je ne peux pas vivre avec ça. Cela va me poursuivre toute ma vie'. Actuellement, il résiderait chez des amis.
Comment les flammes ont pu se propager si rapidement? C'est la question à laquelle devront répondre les enquêteurs. Certains résidents pointent du doigt les matériaux utilisés dans les travaux de rénovation l'année dernière. Ils décrivent une forte odeur de plastique brûlé, un matériau très inflammable, qui pourrait avoir accéléré la propagation des flammes dans cet immeuble.
Behailu Kebede, un chauffeur de taxi éthiopien, a aperçu dans la nuit de mardi à mercredi des flammes dans la cuisine de son flat du quatrième étage. Face au danger, il a directement appelé les services de secours et a prévenu ses voisins les plus proches. Par précaution.
"Il était exactement minuit 50 quand il a sonné", se souvient sa voisine Maryann Adam. "Je m'en rappelle très bien parce qu'il m'a réveillée. Il est venu m'avertir qu'il y avait un incendie dans sa cuisine, mais ça n'avait pas l'air très alarmant. J'ai moi-même pu voir les flammes car la porte de son appartement était restée ouverte", poursuit-elle dans la presse britannique.
Nouveau bilan de 30 morts
Ce qui interpelle les enquêteurs, c'est la rapidité avec laquelle le feu s'est propagé dans cet immeuble pourtant rénové en 2016. En l'espace de 15 minutes, les flammes ont atteint le sommet du bâtiment.
Le dernier bilan qui vient d'être communiqué à l'instant fait état de 30 morts. Plusieurs dizaines de personnes sont toujours portées disparues. Ce chiffre pourrait dès lors, encore fortement augmenter dans les prochains jours.
"Il culpabilise"
Selon l'un de ses amis proches, Behailu est complètement anéanti par la tragédie. "Il culpabilise, même s'il n'y peut rien. Il ne cesse de répéter: 'Il y a tant de victimes et je ne peux pas vivre avec ça. Cela va me poursuivre toute ma vie'. Actuellement, il résiderait chez des amis.
Comment les flammes ont pu se propager si rapidement? C'est la question à laquelle devront répondre les enquêteurs. Certains résidents pointent du doigt les matériaux utilisés dans les travaux de rénovation l'année dernière. Ils décrivent une forte odeur de plastique brûlé, un matériau très inflammable, qui pourrait avoir accéléré la propagation des flammes dans cet immeuble.
Source: 7sur7