Plusieurs chefs d'accusation sont retenus contre lui, notamment les actes de terrorisme, l’atteinte à la sûreté de l’État, l’association de malfaiteurs et les actes visant à troubler l’ordre public. C'est dire que le "cas Cheikh Alassane/ Johny Ba" s'est corsé.
Le magistrat instructeur a pris son ordonnance de renvoi le 31 décembre dernier. Notification en a été faite à l’inculpé, qui est présentement incarcéré à la prison du Cap Manuel après un passage à la prison de Rebeuss.
La question que l'on se pose est de savoir si Cheikh Alassane Sène, "désespéré", entamera (comme l'ont révélé nos confrères de "Libé") une grève de la faim ?
S'il refuse de s'alimenter, pour reprendre le jargon des matons, cela surprendrait compte tenu de son statut de religieux. Du moins, c'est ce qu'il revendique.
De nos recoupements, dakarposte sait que refuser de s'alimenter est contraire à l'Islam. Faire souffrir son âme n'est pas à faire. Le fait de se priver de s'alimenter nuit à la santé et affaiblit les organes. Or, l'être humain n'a pas droit de porter préjudice à son corps. "Allah", faut-il le rappeler, nous a ordonné de boire, de manger, de s'accoupler... On ne doit pas s'en priver. Se priver de ces choses-là , c'est de se tuer à petit feu, c'est de se détruire. Or, il a dit au verset 195 de la sourate La vache ceci : "Et ne vous jetez pas par vos propres mains dans la destruction".
Tout cela donne à voir que refuser de s'alimenter pour avoir une cause n'a aucun fondement en islam. Il est interdit parce qu'il porte préjudice au corps, aux organes, à la santé. Qu'Allah nous en garde!
A moins qu'il n'ébruite cette menace de refuser de s'alimenter comme l'ont annoncé nos confrères de Libé" pour juste avoir gain de cause ?
Pour rappel, Cheikh Alassane Sène et Johny Bâ ont été inculpés d’association de malfaiteurs et de menaces terroristes envers des autorités. Pour ce chef, ils ont été entendus par le doyen des juges qui les a placés sous mandat de dépôt. Leur interpellation par la Division des investigations criminelles fait suite à l’envoi simultané d’un Sms au ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, et à la Directrice générale de la police nationale de l'époque, Anna Sémou Faye.
Affaire à suivre...
Le magistrat instructeur a pris son ordonnance de renvoi le 31 décembre dernier. Notification en a été faite à l’inculpé, qui est présentement incarcéré à la prison du Cap Manuel après un passage à la prison de Rebeuss.
La question que l'on se pose est de savoir si Cheikh Alassane Sène, "désespéré", entamera (comme l'ont révélé nos confrères de "Libé") une grève de la faim ?
S'il refuse de s'alimenter, pour reprendre le jargon des matons, cela surprendrait compte tenu de son statut de religieux. Du moins, c'est ce qu'il revendique.
De nos recoupements, dakarposte sait que refuser de s'alimenter est contraire à l'Islam. Faire souffrir son âme n'est pas à faire. Le fait de se priver de s'alimenter nuit à la santé et affaiblit les organes. Or, l'être humain n'a pas droit de porter préjudice à son corps. "Allah", faut-il le rappeler, nous a ordonné de boire, de manger, de s'accoupler... On ne doit pas s'en priver. Se priver de ces choses-là , c'est de se tuer à petit feu, c'est de se détruire. Or, il a dit au verset 195 de la sourate La vache ceci : "Et ne vous jetez pas par vos propres mains dans la destruction".
Tout cela donne à voir que refuser de s'alimenter pour avoir une cause n'a aucun fondement en islam. Il est interdit parce qu'il porte préjudice au corps, aux organes, à la santé. Qu'Allah nous en garde!
A moins qu'il n'ébruite cette menace de refuser de s'alimenter comme l'ont annoncé nos confrères de Libé" pour juste avoir gain de cause ?
Pour rappel, Cheikh Alassane Sène et Johny Bâ ont été inculpés d’association de malfaiteurs et de menaces terroristes envers des autorités. Pour ce chef, ils ont été entendus par le doyen des juges qui les a placés sous mandat de dépôt. Leur interpellation par la Division des investigations criminelles fait suite à l’envoi simultané d’un Sms au ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, et à la Directrice générale de la police nationale de l'époque, Anna Sémou Faye.
Affaire à suivre...