Sitor Ndour n’a jamais imaginé que le destin puisse être si « cruel », pour reprendre ses propos. Dans cette histoire, trois personnes savent la vérité, dit-il.
« La jeune fille qui a menti, moi-même et le Bon Dieu… »
Il ajouet : « Sa maman a menti. D’ailleurs, ça a été vérifié par le juge d’instruction. La sage-femme a dressé un certificat médical. Elle lui a remis ça. Et ce certificat médical n’a pas vu de sperme ni de rapport sexuel, rien du tout. En clair, le certificat médical délivré par l’hôpital Philippe Senghor, m’innocente à 100%».
Le jour des faits, qui était dans la maison ? « Il n’y avait qu’elle, mes trois filles et moi. Madame était sortie. C’est pourquoi elle a profité de l’occasion, sachant que la fille, la plus âgée, elle a 9 ans, ne sera pas témoin. Donc, ce sera sa parole contre la mienne. »
« J’étais dans ma chambre en haut vers 15h. Elle est arrivée, a ouvert la porte sans frapper. Elle se tenait le poignet faisant semblant de pleurer. J’ai des pommades anti-inflammatoires. Je lui ai appliqué cela et lui ai dit que normalement, ça allait se calmer dans les 30 minutes maximum. Elle était au rez-de-chaussée. C’est ainsi qu’elle est allée dans sa chambre. 30 minutes après, je me suis déplacé moi-même. Quand elle m’a entendu descendre, elle a encore fait semblant de pleurer. »
« On s’est assis au salon. J’ai regardé. Je lui ai dit que son poignet n’était pas enflé, que je ne voyais pas de blessures, que si ça continuait, j’allais la reconduire chez elle pour que sa maman la conduise à l’hôpital. Je suis monté dans ma chambre. Elle est sortie de la maison et a dit à ma fille de 9 ans, de fermer la porte derrière elle. Elle est partie. Quand j’ai su qu’elle était sortie, j’ai demandé à ma fille de m’appeler quand elle sera revenue. 30 ou 40 minutes après, c’est sa tante qui m’appelle pour me parler de viol. Voilà ce qui s’est réellement passé. Malheureusement, la fille est une mauvaise actrice. »
Avec Rewmi
« La jeune fille qui a menti, moi-même et le Bon Dieu… »
Il ajouet : « Sa maman a menti. D’ailleurs, ça a été vérifié par le juge d’instruction. La sage-femme a dressé un certificat médical. Elle lui a remis ça. Et ce certificat médical n’a pas vu de sperme ni de rapport sexuel, rien du tout. En clair, le certificat médical délivré par l’hôpital Philippe Senghor, m’innocente à 100%».
Le jour des faits, qui était dans la maison ? « Il n’y avait qu’elle, mes trois filles et moi. Madame était sortie. C’est pourquoi elle a profité de l’occasion, sachant que la fille, la plus âgée, elle a 9 ans, ne sera pas témoin. Donc, ce sera sa parole contre la mienne. »
« J’étais dans ma chambre en haut vers 15h. Elle est arrivée, a ouvert la porte sans frapper. Elle se tenait le poignet faisant semblant de pleurer. J’ai des pommades anti-inflammatoires. Je lui ai appliqué cela et lui ai dit que normalement, ça allait se calmer dans les 30 minutes maximum. Elle était au rez-de-chaussée. C’est ainsi qu’elle est allée dans sa chambre. 30 minutes après, je me suis déplacé moi-même. Quand elle m’a entendu descendre, elle a encore fait semblant de pleurer. »
« On s’est assis au salon. J’ai regardé. Je lui ai dit que son poignet n’était pas enflé, que je ne voyais pas de blessures, que si ça continuait, j’allais la reconduire chez elle pour que sa maman la conduise à l’hôpital. Je suis monté dans ma chambre. Elle est sortie de la maison et a dit à ma fille de 9 ans, de fermer la porte derrière elle. Elle est partie. Quand j’ai su qu’elle était sortie, j’ai demandé à ma fille de m’appeler quand elle sera revenue. 30 ou 40 minutes après, c’est sa tante qui m’appelle pour me parler de viol. Voilà ce qui s’est réellement passé. Malheureusement, la fille est une mauvaise actrice. »
Avec Rewmi