«Le cas du jeune Malick Ba a ému tout le pays. Nous ne savons pas qui a tiré, mais, ce qui est sûr, c’est un gendarme qui a tué Malick Bâ. A L’époque, ils ont tous condamné Wade et la gendarmerie. Aujourd’hui qu’ils sont au pouvoir, pourquoi donc ne font-ils rien pour que la vérité éclate ?»,s’étonne Seydi Gassama, secrétaire général de Amnesty National, section Sénégal dans Walf Quotidien.
L’activiste, a déclaré, lors d’un point de presse, les lenteurs constatée dans la gestion des meurtres commis ces dernières années et dont les dossiers sont restés dans les tiroirs.
A noter Malick Bâ a été tué d’une balle le 30 mai 2011 à Sangalkam, lors d’une manifestation des populations qui protestaient contre l’installation d’une délégation spéciale dans la communauté rurale de Sangalkam.
Amnesty international Sénégal exige l’ouverture du procès sur la mort de Malick Bâ et a aussi initié une pétition pour pousser les autorités à juger les gendarmes accusés de l’avoir tué. Pour ce faire, l’ONG cherche 80 mille signatures.
Elle a lancé une campagne dans quatre-vingt localités du pays, afin de recenser des signatures pour que justice soit faite. « Ecrire pour les droits» est le nom de la campagne qui s’adresse également à Anne Alfred de Malawi, une albinos pourchassée pour une partie de son corps.
«Si l’on se mobilise pas, ce sont des cas qui vont moisir et finir dans les tiroirs. C’est pourquoi nous cherchons des signatures pour le cas spécifique de Malick Bâ à remettre au ministre de la justice, si eux ils ont oublié parce qu’étant au pouvoir, les Sénégalais n’ont pas du tout négligé ces cas de meurtre » souligne Seydi Gassama.
Il a aussi accusé hier le pouvoir lors d’une conférence de presse d’ouvrir les dossiers qui l’arrangent et met à coté les autres. Selon toujours Amnesty international, le Sénégal est l’un des rares pays où des dossiers de crimes font dix ans chez le juge sans aucun traitement. Seydi Gassama interpelle que « Voilà 5 ans que le jeune Malick Bâ a été tué. Voilà un pays qui classe ces dossiers sans même avertir l’avocat de la victime ».
D’ailleurs, Amnesty a produit un film sur la mort de Malick Bâ, dans ce documentaire de 10 minutes, on peut voir toutes les autorités au pouvoir aujourd’hui rendre visite à la famille de la victime et s’indigner de la situation.
L’activiste, a déclaré, lors d’un point de presse, les lenteurs constatée dans la gestion des meurtres commis ces dernières années et dont les dossiers sont restés dans les tiroirs.
A noter Malick Bâ a été tué d’une balle le 30 mai 2011 à Sangalkam, lors d’une manifestation des populations qui protestaient contre l’installation d’une délégation spéciale dans la communauté rurale de Sangalkam.
Amnesty international Sénégal exige l’ouverture du procès sur la mort de Malick Bâ et a aussi initié une pétition pour pousser les autorités à juger les gendarmes accusés de l’avoir tué. Pour ce faire, l’ONG cherche 80 mille signatures.
Elle a lancé une campagne dans quatre-vingt localités du pays, afin de recenser des signatures pour que justice soit faite. « Ecrire pour les droits» est le nom de la campagne qui s’adresse également à Anne Alfred de Malawi, une albinos pourchassée pour une partie de son corps.
«Si l’on se mobilise pas, ce sont des cas qui vont moisir et finir dans les tiroirs. C’est pourquoi nous cherchons des signatures pour le cas spécifique de Malick Bâ à remettre au ministre de la justice, si eux ils ont oublié parce qu’étant au pouvoir, les Sénégalais n’ont pas du tout négligé ces cas de meurtre » souligne Seydi Gassama.
Il a aussi accusé hier le pouvoir lors d’une conférence de presse d’ouvrir les dossiers qui l’arrangent et met à coté les autres. Selon toujours Amnesty international, le Sénégal est l’un des rares pays où des dossiers de crimes font dix ans chez le juge sans aucun traitement. Seydi Gassama interpelle que « Voilà 5 ans que le jeune Malick Bâ a été tué. Voilà un pays qui classe ces dossiers sans même avertir l’avocat de la victime ».
D’ailleurs, Amnesty a produit un film sur la mort de Malick Bâ, dans ce documentaire de 10 minutes, on peut voir toutes les autorités au pouvoir aujourd’hui rendre visite à la famille de la victime et s’indigner de la situation.