La ministre française de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Ségolène Royal, s’est entretenue samedi avec le président sénégalais Macky Sall, sur le financement des projets de vulgarisation des énergies renouvelables en Afrique, dans le cadre d’un accord multilatéral conclu en décembre dernier, à Paris.
"Je considère que les financements ne sont pas assez rapides. Il y a beaucoup de discours et d’annonces. (…) Je veux savoir pourquoi ce n’est pas rapide et pourquoi les fonds annoncés ne sont pas versés aux projets, qui sont pourtant prêts à démarrer. C’est cela ma préoccupation principale", a expliqué Mme Royal.
"Je veux que, dès le 22 avril, un certain nombre de financements soient débloqués", a-t-elle ajouté.
Selon Ségolène Royal, les chefs d’Etat et de gouvernement ayant participé à la conférence mondiale sur le climat (COP 21), en décembre, à Paris, doivent se rencontrer le 22 avril prochain, à New York (Etats-Unis), pour faire le point des engagements financiers annoncés il y a un peu plus de deux mois, dans la capitale française.
"Ce sont des projets (…) que je dois pouvoir valider et concrétiser, en mobilisant les financements, en tant que présidente de la COP 21", a-t-elle encore dit dans une vidéo postée sur le site Internet de la présidence sénégalaise.
Ségolène Royal a rencontré le chef de l’Etat sénégalais, dans le cadre d’une tournée africaine devant lui permettre d’"accélérer le processus que les chefs d’Etat et de gouvernement ont décidé de mettre en œuvre, lors de la COP 21, concernant l’accès de l’Afrique aux énergies renouvelables".
Elle signale que cette visite en Afrique lui a permis de "voir le potentiel du continent dans le domaine des énergies renouvelables, notamment l’énergie éolienne et l’hydroélectricité, pour laquelle il y a un formidable projet sur le fleuve Sénégal, qui concerne quatre pays d’Afrique de l’Ouest".
"J’étais venu écouter le président Macky Sall pour savoir quelles étaient ses attentes et comment il pouvait aider la communauté internationale à réussir ce programme de l’Afrique pour les énergies renouvelables. C’est un projet qui lui tient à cœur", a souligné Mme Royal.
"Beaucoup de personnes n’ont pas encore accès à l’énergie. Beaucoup d’entreprises ont besoin d’énergie pour se développer. Beaucoup d’agriculteurs ont besoin de barrages pour pratiquer l’agriculture irriguée", a-t-elle souligné.
"Je considère que les financements ne sont pas assez rapides. Il y a beaucoup de discours et d’annonces. (…) Je veux savoir pourquoi ce n’est pas rapide et pourquoi les fonds annoncés ne sont pas versés aux projets, qui sont pourtant prêts à démarrer. C’est cela ma préoccupation principale", a expliqué Mme Royal.
"Je veux que, dès le 22 avril, un certain nombre de financements soient débloqués", a-t-elle ajouté.
Selon Ségolène Royal, les chefs d’Etat et de gouvernement ayant participé à la conférence mondiale sur le climat (COP 21), en décembre, à Paris, doivent se rencontrer le 22 avril prochain, à New York (Etats-Unis), pour faire le point des engagements financiers annoncés il y a un peu plus de deux mois, dans la capitale française.
"Ce sont des projets (…) que je dois pouvoir valider et concrétiser, en mobilisant les financements, en tant que présidente de la COP 21", a-t-elle encore dit dans une vidéo postée sur le site Internet de la présidence sénégalaise.
Ségolène Royal a rencontré le chef de l’Etat sénégalais, dans le cadre d’une tournée africaine devant lui permettre d’"accélérer le processus que les chefs d’Etat et de gouvernement ont décidé de mettre en œuvre, lors de la COP 21, concernant l’accès de l’Afrique aux énergies renouvelables".
Elle signale que cette visite en Afrique lui a permis de "voir le potentiel du continent dans le domaine des énergies renouvelables, notamment l’énergie éolienne et l’hydroélectricité, pour laquelle il y a un formidable projet sur le fleuve Sénégal, qui concerne quatre pays d’Afrique de l’Ouest".
"J’étais venu écouter le président Macky Sall pour savoir quelles étaient ses attentes et comment il pouvait aider la communauté internationale à réussir ce programme de l’Afrique pour les énergies renouvelables. C’est un projet qui lui tient à cœur", a souligné Mme Royal.
"Beaucoup de personnes n’ont pas encore accès à l’énergie. Beaucoup d’entreprises ont besoin d’énergie pour se développer. Beaucoup d’agriculteurs ont besoin de barrages pour pratiquer l’agriculture irriguée", a-t-elle souligné.