La tristesse et la consternation ont affligé les habitants du village de Djidinki Manjaque, dans l’arrondissement de Karantaba, département de Goudomp hier, dimanche 27 février 2022, suite à la mort par pendaison du jeune enseignant Babacar Thienty.
Son père, manifestement très abattu, témoigne : «à son retour, vendredi passé, de Sobaly où il enseignait, il a déclaré sentir des douleurs corporelles. Et j’ai décidé de l’accompagner à l’hôpital de Sédhiou. Nous avons pu rencontrer un médecin qui lui a prescrit des médicaments que j’ai payés. A l’embarcadère, pour traverser vers Sandiniéry, c’est lui-même qui a demandé à prendre le petit-déjeuner. Puis, nous poursuivîmes notre chemin jusqu’à Djidinki, chez nous, et sans problème ni douleurs manifestes», explique son père, Balla Thienty.
Et de poursuivre : «il a demandé à prendre sa douche et a souhaité repartir à son poste, à Sobaly, car lundi est un jour ouvrable. Je lui ai demandé de rester pour le mettre en observation, comme il disait ne pas se sentir mieux, et j’ai pris l’engagement de l’amener personnellement, lundi (aujourd’hui, ndlr) très tôt, à son poste, si sa santé s’améliore. Malheureusement, c’est son jeune frère qui m’a appris que Babacar s’est pendu sous le manguier», dit-il.
Tout aussi abattu, Robert Thienty témoigne que «le jeune Babacar était un garçon très correct. Et je ne comprends toujours pas ce qui peut le conduire à prendre une telle décision extrême». A signaler que le sous-préfet de Karantaba et l’Inspecteur de l’éducation et de la formation (IEF) de Goudomp y ont effectué le déplacement.
Les gendarmes de la Brigade de Samine se sont également transportés sur les lieux du sinistre, pour les besoins de constat, et les sapeurs-pompiers, pour enlever la dépouille mortelle du pauvre Babacar parti à la fleur de l’âge avec des témoignages élogieux pour sa bonne conduite sociale de son vivant. Une enquête est ouverte pour chercher d’éventuels mobiles qui pourraient motiver son acte. Rapporte Vipeoples .
Son père, manifestement très abattu, témoigne : «à son retour, vendredi passé, de Sobaly où il enseignait, il a déclaré sentir des douleurs corporelles. Et j’ai décidé de l’accompagner à l’hôpital de Sédhiou. Nous avons pu rencontrer un médecin qui lui a prescrit des médicaments que j’ai payés. A l’embarcadère, pour traverser vers Sandiniéry, c’est lui-même qui a demandé à prendre le petit-déjeuner. Puis, nous poursuivîmes notre chemin jusqu’à Djidinki, chez nous, et sans problème ni douleurs manifestes», explique son père, Balla Thienty.
Et de poursuivre : «il a demandé à prendre sa douche et a souhaité repartir à son poste, à Sobaly, car lundi est un jour ouvrable. Je lui ai demandé de rester pour le mettre en observation, comme il disait ne pas se sentir mieux, et j’ai pris l’engagement de l’amener personnellement, lundi (aujourd’hui, ndlr) très tôt, à son poste, si sa santé s’améliore. Malheureusement, c’est son jeune frère qui m’a appris que Babacar s’est pendu sous le manguier», dit-il.
Tout aussi abattu, Robert Thienty témoigne que «le jeune Babacar était un garçon très correct. Et je ne comprends toujours pas ce qui peut le conduire à prendre une telle décision extrême». A signaler que le sous-préfet de Karantaba et l’Inspecteur de l’éducation et de la formation (IEF) de Goudomp y ont effectué le déplacement.
Les gendarmes de la Brigade de Samine se sont également transportés sur les lieux du sinistre, pour les besoins de constat, et les sapeurs-pompiers, pour enlever la dépouille mortelle du pauvre Babacar parti à la fleur de l’âge avec des témoignages élogieux pour sa bonne conduite sociale de son vivant. Une enquête est ouverte pour chercher d’éventuels mobiles qui pourraient motiver son acte. Rapporte Vipeoples .