A défaut d’un règlement à l’amiable en famille, l’imbroglio qui oppose deux descendants du fondateur du mouridisme devra se régler devant les tribunaux. Mais, cette fois-ci, c’est une histoire de galipettes entretenues par deux jeunes Mbacké-Mbacké qui est à la base de ce conflit. Il s’agit de Daba Mbacké et son tourtereau Cheikh Bassirou Mbacké qui, bien qu’étant membres de la très respectable descendance mouride, ne se sont connus en réalité qu’à travers le réseau social «Facebook». C’est en fin d’année 2015 que les deux commencent leur relation sentimentale à la suite d’échanges de numéros de téléphone. Et de fil en aiguille, Cheikh Bassirou Mbacké et Daba Mbacké se rapprochent au point de donner naissance à une véritable histoire d’amour.
Un jour, Cheikh Bassirou Mbacké invite sa «dulcinée» à le rejoindre dans une maison déserte. Et, d’après la fille âgée d’une vingtaine d’années, c’est là -bas que son amant a sexuellement abusé d’elle. Quelque trois mois plus tard, Daba Mbacké contracte une grossesse non désirée. Cheikh Bassirou Mbacké refusant la paternité de son enfant, Daba Mbacké dépose une plainte au commissariat de police de Touba et son petit-ami est arrêté et placé sous mandat de dépôt pour viol.
Face aux juges, Cheikh Bassirou Mbacké a nié avoir eu le moindre rapport intime avec Daba Mbacké. D’après le présumé violeur et son avocat Me Khassimou Touré, il ne s’agit ni plus ni moins que d’une cabale orchestrée par la petite amie et ses parents pour trouver un paternel à son rejeton. Selon Me Khassimou Touré, il y a dans ce dossier un problème d’imputabilité et de matérialité. Selon lui, les faits ont été travestis par une fille sans pudeur, versatile sur laquelle les parents n’ont aucune autorité.
Avant Me Touré, Me Abdoulaye Babou a sollicité pour sa cliente, Daba Mbacké, la somme de 50 millions de francs Cfa pour les dommages subis. L’affaire a été mise en délibéré au 21 février 2017. Mais d’ici là , Cheikh Bassirou Mbacké, qui est toujours en liberté conditionnelle, reste libre comme l’air.
Source: Les Echos
Un jour, Cheikh Bassirou Mbacké invite sa «dulcinée» à le rejoindre dans une maison déserte. Et, d’après la fille âgée d’une vingtaine d’années, c’est là -bas que son amant a sexuellement abusé d’elle. Quelque trois mois plus tard, Daba Mbacké contracte une grossesse non désirée. Cheikh Bassirou Mbacké refusant la paternité de son enfant, Daba Mbacké dépose une plainte au commissariat de police de Touba et son petit-ami est arrêté et placé sous mandat de dépôt pour viol.
Face aux juges, Cheikh Bassirou Mbacké a nié avoir eu le moindre rapport intime avec Daba Mbacké. D’après le présumé violeur et son avocat Me Khassimou Touré, il ne s’agit ni plus ni moins que d’une cabale orchestrée par la petite amie et ses parents pour trouver un paternel à son rejeton. Selon Me Khassimou Touré, il y a dans ce dossier un problème d’imputabilité et de matérialité. Selon lui, les faits ont été travestis par une fille sans pudeur, versatile sur laquelle les parents n’ont aucune autorité.
Avant Me Touré, Me Abdoulaye Babou a sollicité pour sa cliente, Daba Mbacké, la somme de 50 millions de francs Cfa pour les dommages subis. L’affaire a été mise en délibéré au 21 février 2017. Mais d’ici là , Cheikh Bassirou Mbacké, qui est toujours en liberté conditionnelle, reste libre comme l’air.
Source: Les Echos