La chose est passée sans bruits. Cela a eu lieu lors d'un bizarre Conseil d'Administration de la Société africaine de raffinage (SAR) où sévit un larbin (ayant trahi Macky dans un passé recent avant de revenir à lui en caniche), en plus d'être un détourneur estampillé. La scène: Paris. Modus Operandi: En catimini. Deal? Les actions détenues par le Groupe Bin Laden, à la SAR, environ 30 pour cent, ont été refilées, ni vu ni connu, à une inconnue au bataillon, une certaine société LOCA-je-ne-sais-QUOI.
Pendant que l'opposition s'assoupit, que les chefs religieux se compromettent pour de l'argent, que les militants du Parti au pouvoir sont dans leurs coûteux enfantillages politiciens, que l'intelligentsia est aux abris, que les citoyens ordinaires vendent leurs voix pour des peccadilles, que l'hypocrisie s'installe dans l'ADN national et populaire, les biens de la nation sont piratés.
Qui avait intérêt à ce tour de passe-passe dans les actions de la SAR? Rien moins qu'un mastodonte ! Car à la veille d'une majeure transformation structurelle de notre économie vers les hydrocarbures, il fallait, à l'évidence, avoir un nez fin, et un grand pouvoir d'influence, pour faire ce deal, au loin, sous les lambris de quelque palace parisien...
Que dit alors Monsieur le Procureur de cette offense à la nation, de ce qui peut être un autre crime économique contre un peuple et un pays à l'abandon ? Il faut qu'il lève la tête pour chercher tout la haut-deh.
C'est là où, dit-on, certains malfaiteurs aiment se cacher, au dessus de nos têtes pendant que les rats, disons le menu fretin, cherchent leur survie dans les bas fonds où, eux, sont faciles à traquer.
Wassalam.
PS:
J'apprends que l'opposition Kényane menée par Raila Odinga rejette les résultats de l'élection présidentielle d'hier. Comme je le craignais, le risque dune montée des violences n'est pas à exclure dans ce pays où le recul, la régression, démocratique, se donne encore a voir...Pauvre Afrique, pillée et pilonnée.
Pendant que l'opposition s'assoupit, que les chefs religieux se compromettent pour de l'argent, que les militants du Parti au pouvoir sont dans leurs coûteux enfantillages politiciens, que l'intelligentsia est aux abris, que les citoyens ordinaires vendent leurs voix pour des peccadilles, que l'hypocrisie s'installe dans l'ADN national et populaire, les biens de la nation sont piratés.
Qui avait intérêt à ce tour de passe-passe dans les actions de la SAR? Rien moins qu'un mastodonte ! Car à la veille d'une majeure transformation structurelle de notre économie vers les hydrocarbures, il fallait, à l'évidence, avoir un nez fin, et un grand pouvoir d'influence, pour faire ce deal, au loin, sous les lambris de quelque palace parisien...
Que dit alors Monsieur le Procureur de cette offense à la nation, de ce qui peut être un autre crime économique contre un peuple et un pays à l'abandon ? Il faut qu'il lève la tête pour chercher tout la haut-deh.
C'est là où, dit-on, certains malfaiteurs aiment se cacher, au dessus de nos têtes pendant que les rats, disons le menu fretin, cherchent leur survie dans les bas fonds où, eux, sont faciles à traquer.
Wassalam.
PS:
J'apprends que l'opposition Kényane menée par Raila Odinga rejette les résultats de l'élection présidentielle d'hier. Comme je le craignais, le risque dune montée des violences n'est pas à exclure dans ce pays où le recul, la régression, démocratique, se donne encore a voir...Pauvre Afrique, pillée et pilonnée.