Tout a débuté avec Mamadou Diagne, agent préposé à l’état civil, qui s’était fait confectionner un cachet et des exemplaires d’actes de naissances vierges qu’il vendait moyennant de l’argent. Il avait également imité la signature d’un légataire de signature à l’état civil. Il a été découvert, le jour où le premier adjoint au maire devait signer, les actes que lui avait présentés ce dernier. Malheureusement ce jour-là , Mamadou Diagne avait oublié dans le chemisier un lot de faux exemplaires d’extraits de naissance.
Un autre scandale s’en est suivi, mais d’un autre modus operandi, il s’agit dans ce cas-là de corruption et de subornation de la part d’un autre agent et son complice. L’agent en question vendait en fait les actes de naissance entre 5000 à 7000 Cfa l’acte. C’est lors d’une dispute avec une dame à qui il devait confectionner un extrait de naissance à 7000 Fcfa, que son deal a éclaté devant tous les agents de la mairie. Une situation qui a amené les autorités municipales à suspendre les services de l’état civil durant un moment, « le temps de revoir un autre système plus efficace et plus sécurisé pour éviter ces genres d’impaires« , renseigne le journal La Tribune.
Actuellement, leur sort est entre les mains du maire Abdou Lahad Ka qui va décider de l’opportunité des poursuites judiciaires.
Un autre scandale s’en est suivi, mais d’un autre modus operandi, il s’agit dans ce cas-là de corruption et de subornation de la part d’un autre agent et son complice. L’agent en question vendait en fait les actes de naissance entre 5000 à 7000 Cfa l’acte. C’est lors d’une dispute avec une dame à qui il devait confectionner un extrait de naissance à 7000 Fcfa, que son deal a éclaté devant tous les agents de la mairie. Une situation qui a amené les autorités municipales à suspendre les services de l’état civil durant un moment, « le temps de revoir un autre système plus efficace et plus sécurisé pour éviter ces genres d’impaires« , renseigne le journal La Tribune.
Actuellement, leur sort est entre les mains du maire Abdou Lahad Ka qui va décider de l’opportunité des poursuites judiciaires.