Selon Libération, le directeur des opérations internationales est tombé dans le cadre de l’enquête pour des faits de corruption sur fond de surfacturation en Guinée. Les dirigeants d’Iris sont soupçonnés d’avoir gonflé les prix des passeports numérisés, avec la complicité d’un fournisseur local, qui leur réservait 5 dollars sur chaque passeport confectionné.
L’enquête va-t-elle s’étendre aux activités du groupe au Sénégal ? On ne sait pour le moment. N’empêche que dès 2009, la Cour des comptes du Sénégal avait tiré sur la sonnette d’alarme à propos du contrat qui liait Iris aux autorités de l’ancien régime.
Les autorités de la Cour des comptes avaient note que le contrat passé entre les autorités du Sénégal et Iris corporation prévoyait la prise en charge par cette dernière d'une main-d'oeuvre locale à raison de onze agents par centre au niveau national et sept par centre à l’étranger. Dans les faits, Iris n'avait finalement recruté qu’en moyenne trois agents par centre tant au plan national qu'à l'étranger.
L’enquête va-t-elle s’étendre aux activités du groupe au Sénégal ? On ne sait pour le moment. N’empêche que dès 2009, la Cour des comptes du Sénégal avait tiré sur la sonnette d’alarme à propos du contrat qui liait Iris aux autorités de l’ancien régime.
Les autorités de la Cour des comptes avaient note que le contrat passé entre les autorités du Sénégal et Iris corporation prévoyait la prise en charge par cette dernière d'une main-d'oeuvre locale à raison de onze agents par centre au niveau national et sept par centre à l’étranger. Dans les faits, Iris n'avait finalement recruté qu’en moyenne trois agents par centre tant au plan national qu'à l'étranger.