Les acteurs de la lutte contre la criminalité faunique se sont encore illustrés dans la Petite Côte. Il nous revient, en effet, à travers un communiqué rendu public par le projet Eagle-Sénégal, qu’avec son soutien, les éléments de la Brigade de recherche du Commissariat urbain de Saly, venus en appui à la Direction des Eaux et Forêts, ont procédé à l’interpellation d’un présumé trafiquant de nationalité malienne, ce mercredi 27 juillet 2022. L’arrestation de ce délinquant supposé, s’est déroulée «en plein cœur de la station balnéaire de Saly».
L’«opération de trafic de faune sauvage» a consisté pour le trafiquant présumé, à tenter «de vendre 19 bijoux en ivoire d’éléphant». Ce dernier, s’il est inculpé et placé sous mandat de dépôt, pourrait écoper lors de son procès, d’«une lourde peine d’emprisonnement», font savoir les membres du projet Eagle-Sénégal dans leur document. Ces derniers en sont vraiment convaincus, d'autant que «le Code sénégalais de la chasse et de la faune punit de peines d’emprisonnement et d’amendes (A. L32), quiconque détient, circule ou commercialise des ivoires d’éléphant».
«La saisie de bijoux en ivoire sculpté révèle un réseau bien organisé de vente d’ivoire à Saly, aux touristes qui en font la demande. Les pièces d’ivoire sont tendres et fraîchement sculptées, ce qui démontre que des défenses d’ivoire d’éléphants sont encore régulièrement importées de la sous-région vers le Sénégal pour les besoins du trafic», renseigne le communiqué du projet Eagle-Sénégal. Qui fait constater, en outre, l’imagination débordante des trafiquants «pour tromper les agents des Eaux et Forêts et les policiers, puisqu’ils maquillent l’ivoire à vendre».
Les membres du projet Eagle-Sénégal soutiennent aussi, en guise de rappel, que «l’ivoire d’éléphant, intégralement protégé par la Convention de Washington (Cites) que le Sénégal a ratifiée, est classé au niveau «Zéro tolérance commerce» par les Nations unies».
Avec ce trafic, dénommé aussi «Blood Ivory» (l’ivoire du sang), «il existe des connexions dangereuses avec des groupes terroristes/rebelles très connus comme les Jenjaouids, la Lra, les Al Shabab (Al Qaïda), qui financent en partie leurs actions sanglantes grâce aux revenus générés par la vente illégale d’ivoire d’éléphant», font remarquer ces acteurs de la lutte contre la criminalité faunique. Qui informent encore que «sur le continent africain, un éléphant meurt toutes les 15 minutes pour son ivoire. Un désastre pour la sauvegarde de l’espèce en Afrique, Âtandis que les éléphants asiatiques ont presque disparu pour les mêmes raisons».
L’«opération de trafic de faune sauvage» a consisté pour le trafiquant présumé, à tenter «de vendre 19 bijoux en ivoire d’éléphant». Ce dernier, s’il est inculpé et placé sous mandat de dépôt, pourrait écoper lors de son procès, d’«une lourde peine d’emprisonnement», font savoir les membres du projet Eagle-Sénégal dans leur document. Ces derniers en sont vraiment convaincus, d'autant que «le Code sénégalais de la chasse et de la faune punit de peines d’emprisonnement et d’amendes (A. L32), quiconque détient, circule ou commercialise des ivoires d’éléphant».
«La saisie de bijoux en ivoire sculpté révèle un réseau bien organisé de vente d’ivoire à Saly, aux touristes qui en font la demande. Les pièces d’ivoire sont tendres et fraîchement sculptées, ce qui démontre que des défenses d’ivoire d’éléphants sont encore régulièrement importées de la sous-région vers le Sénégal pour les besoins du trafic», renseigne le communiqué du projet Eagle-Sénégal. Qui fait constater, en outre, l’imagination débordante des trafiquants «pour tromper les agents des Eaux et Forêts et les policiers, puisqu’ils maquillent l’ivoire à vendre».
Les membres du projet Eagle-Sénégal soutiennent aussi, en guise de rappel, que «l’ivoire d’éléphant, intégralement protégé par la Convention de Washington (Cites) que le Sénégal a ratifiée, est classé au niveau «Zéro tolérance commerce» par les Nations unies».
Avec ce trafic, dénommé aussi «Blood Ivory» (l’ivoire du sang), «il existe des connexions dangereuses avec des groupes terroristes/rebelles très connus comme les Jenjaouids, la Lra, les Al Shabab (Al Qaïda), qui financent en partie leurs actions sanglantes grâce aux revenus générés par la vente illégale d’ivoire d’éléphant», font remarquer ces acteurs de la lutte contre la criminalité faunique. Qui informent encore que «sur le continent africain, un éléphant meurt toutes les 15 minutes pour son ivoire. Un désastre pour la sauvegarde de l’espèce en Afrique, Âtandis que les éléphants asiatiques ont presque disparu pour les mêmes raisons».