Des infractions articulées à la suite de la plainte déposée contre lui, par Mme R, sa collègue à la marie de Ndar. Selon le récit du journal L’Observateur, tout serait partie d’une folie que s’est permise la dame, pour satisfaire son mari. Celui-ci absent du pays, la dame qui cherchait à satisfaire ses désirs a choisi de se filmer nue, avant de la poster sur sa page Facebook. Après, elle oublie de déconnecter son compte qu’elle avait ouvert à partir son bureau.
Son collègue l’agent A.C qui consultait ledit ordinateur, à son insu, tombe sur la vidéo salace. Après l’avoir visionné et téléchargé sur son téléphone, il s’en sert comme moyen pour faire chanter sa collège et la contraindre à entretenir des rapports sexuelles avec lui.
Seulement celle-ci n’a pas cédé aux avances de son collègue, encore moins au chantage brandi. Mais pour lui prouver que ses menaces n’étaient pas de vains mots, le collègue vicieux fait visionner la vidéo à quelques de leurs collègues.
Au bout du compte, la dame qui refuse d’accéder à la requête indécente, saisit la justice. L’enquête des éléments de la brigade de recherche de Saint Louis conduit l’arrestation du vicieux agent municipal et l’examen de son téléphone fait découvrir, en sus de la vidéo compromettante, d’autres images à caractère pornographique et d’autres vidéos montrant des dames nues, qu’il filmait à leur insu, au cours de relations intimes.
Placé en garde à vue, A.C croupit dans une cellule de la prison, méditant certainement sur son moyen de défense, en attendant de faire face au juge pénal du tribunal de grande instance de Saint Louis.
Son collègue l’agent A.C qui consultait ledit ordinateur, à son insu, tombe sur la vidéo salace. Après l’avoir visionné et téléchargé sur son téléphone, il s’en sert comme moyen pour faire chanter sa collège et la contraindre à entretenir des rapports sexuelles avec lui.
Seulement celle-ci n’a pas cédé aux avances de son collègue, encore moins au chantage brandi. Mais pour lui prouver que ses menaces n’étaient pas de vains mots, le collègue vicieux fait visionner la vidéo à quelques de leurs collègues.
Au bout du compte, la dame qui refuse d’accéder à la requête indécente, saisit la justice. L’enquête des éléments de la brigade de recherche de Saint Louis conduit l’arrestation du vicieux agent municipal et l’examen de son téléphone fait découvrir, en sus de la vidéo compromettante, d’autres images à caractère pornographique et d’autres vidéos montrant des dames nues, qu’il filmait à leur insu, au cours de relations intimes.
Placé en garde à vue, A.C croupit dans une cellule de la prison, méditant certainement sur son moyen de défense, en attendant de faire face au juge pénal du tribunal de grande instance de Saint Louis.