La ville de Pikine a été secouée hier par une histoire d’exhumation de deux corps, un jour seulement leur enterrement. Un acte qui a soulevé la colère des habitants de cette localité où cette pratique commence à devenir courante. Selon plusieurs sources, il s’agit des corps d’un vieillard et d’un nouveau-né, découverts par un fossoyeur.
Sacrifices, vente d’organes
L’exhumation de corps prend des proportions inquiétantes au Sénégal. Un phénomène accentué par plusieurs facteurs. Si certains parlent de « commerce » à travers le trafic d’organes, d’autres estiment que certains de ces personnes agissent pour des sacrifices. Cette histoire de Pikine en est la parfaite illustration.
À la place du corps du vieillard, les gens ont trouvé une tête de chèvre avec un gris-gris dans la gueule, recouvert d’un linceul.
Les exhumations ont tous eu lieu la nuit de jeudi à vendredi
À Pikine, les habitants ont fait un constat inquiétant. Coïncidence ou pas, ils soutiennent que les cas d’exhumation ont tous eu lieu dans « la nuit du jeudi à vendredi ». Et cela, pour tous les cas noté dans cette localité. D’où l’aspect mystique mis en avant, car ces derniers pourraient obéir à des ordres bien précis.
La police déterminée à faire la lumière
Les cas se multiplient et jusque-là , aucune personne n’a été arrêtée par rapport à ces exhumations. Ce qui motive la police à vouloir s’investir à fond pour traquer les auteurs de ces actes. C’est ainsi que des personnes dont les fossoyeurs, le conservateur municipal du cimetière de Pikine Mouhamed Niass et les familles des deux défunts ont été entendus.
Le fossoyeur Saer Gningue placé en garde à vue
L’enquête sur l’exhumation des deux corps à Pikine avance. Et ce matin, certains journaux font état de l’arrestation d’un fossoyeur du nom de Saer Gningue. Placé en garde à vue, des présomptions de culpabilité pèsent sur lui.
Selon plusieurs sources, Saer Gningue a « été l’un des fossoyeurs présents au cimetière dans la nuit du jeudi au vendredi 4 décembre. Il aurait affiché un comportement de panique durant toute son audition par les enquêteurs. Il serait également soupçonné de faire partie d’un réseau, dont le démentellement serait imminent », indique un quotidien de la place.
La mairie de Pikine menacée par la jeunesse musulmane
Regroupés au sein d’une association dénommée, Jeunesse musulmane de Pikine », certains jeunes se sont fait entendre. Ils en veulent à la mairie de Pikine observe depuis une telle situation. « Il y a une absence d’éclairage, mais aussi l’affaissement d’un pan du mur du cimetière », a fait savoir Mansour Sarr, président de ladite association.
De son côté, la mairie de Pikine s’est engagé à prendre certaines mesures. Ainsi, elle compte « déployer sur les lieux une équipe qui va veiller de jour comme de nuit sur les tombes et sur les cimetières en général », indique une source proche de la mairie.
xalimasn.com
Sacrifices, vente d’organes
L’exhumation de corps prend des proportions inquiétantes au Sénégal. Un phénomène accentué par plusieurs facteurs. Si certains parlent de « commerce » à travers le trafic d’organes, d’autres estiment que certains de ces personnes agissent pour des sacrifices. Cette histoire de Pikine en est la parfaite illustration.
À la place du corps du vieillard, les gens ont trouvé une tête de chèvre avec un gris-gris dans la gueule, recouvert d’un linceul.
Les exhumations ont tous eu lieu la nuit de jeudi à vendredi
À Pikine, les habitants ont fait un constat inquiétant. Coïncidence ou pas, ils soutiennent que les cas d’exhumation ont tous eu lieu dans « la nuit du jeudi à vendredi ». Et cela, pour tous les cas noté dans cette localité. D’où l’aspect mystique mis en avant, car ces derniers pourraient obéir à des ordres bien précis.
La police déterminée à faire la lumière
Les cas se multiplient et jusque-là , aucune personne n’a été arrêtée par rapport à ces exhumations. Ce qui motive la police à vouloir s’investir à fond pour traquer les auteurs de ces actes. C’est ainsi que des personnes dont les fossoyeurs, le conservateur municipal du cimetière de Pikine Mouhamed Niass et les familles des deux défunts ont été entendus.
Le fossoyeur Saer Gningue placé en garde à vue
L’enquête sur l’exhumation des deux corps à Pikine avance. Et ce matin, certains journaux font état de l’arrestation d’un fossoyeur du nom de Saer Gningue. Placé en garde à vue, des présomptions de culpabilité pèsent sur lui.
Selon plusieurs sources, Saer Gningue a « été l’un des fossoyeurs présents au cimetière dans la nuit du jeudi au vendredi 4 décembre. Il aurait affiché un comportement de panique durant toute son audition par les enquêteurs. Il serait également soupçonné de faire partie d’un réseau, dont le démentellement serait imminent », indique un quotidien de la place.
La mairie de Pikine menacée par la jeunesse musulmane
Regroupés au sein d’une association dénommée, Jeunesse musulmane de Pikine », certains jeunes se sont fait entendre. Ils en veulent à la mairie de Pikine observe depuis une telle situation. « Il y a une absence d’éclairage, mais aussi l’affaissement d’un pan du mur du cimetière », a fait savoir Mansour Sarr, président de ladite association.
De son côté, la mairie de Pikine s’est engagé à prendre certaines mesures. Ainsi, elle compte « déployer sur les lieux une équipe qui va veiller de jour comme de nuit sur les tombes et sur les cimetières en général », indique une source proche de la mairie.
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